En voyant le but
de Thierry Henry contre l'Irlande, je me suis posé la question :
était-il dans l'équipe d'Arsenal le jour où Wenger a demandé à rejouer
un match gagné au prix d'un but totalement anti-fair play d'Overmars ?
Et tiens,
à propos... l'Arsène en question, quelle était sa réaction hier ?
Suivant les Bleus avec TV5 depuis l'Asie, je suis hélas privé de ses
commentaires souvent aussi pertinents que lapidaires (et heureusement
des messages publicitaires de TF1). Alors je suis parti enquêter sur la
toile...
... pour tomber sur ce billet doux du Monsieur Fair Play Français, le toujours impeccable Stéphane Diagana : "France-Irlande : 1-1. une victoire pour Domenech, un revers pour Wenger ?"
J'ai eu ma réponse : Arsène Wenger n'est pas un saint.
Mais grâce à Diagana, l'honneur national est sauf.
Quant
aux pauvres Irlandais, ils ont avoué avec une déconcertante franchise
qu'à la place de Thierry il allaient faire la même chose.
Quant à
votre serviteur, il est bien incapable de dire quel eût été son
comportement... pour la "bonne" raison qu'il n'a jamais joué en match
officiel devant quinze caméras.
footlog 2009
footlog archives
(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Titi a bonne mimine" (20091119)
20190111
Paon sur le bec (2009)
Dans la série nos amis les bêtes, on n'a sans doute pas fini de revoir ce gardien de but
faire la roue dans l'espoir de déconcentrer un tireur de pénalty... qui lui répond de la façon la plus humiliante :
Le football, c'est pourtant simple. Si vous voulez mon avis, ce gardien a franchement besoin de passer en cellule de dé-gri-grisement.
footlog 2009
NB: il s'agissait de la réponse du buteur de Stony Brook Athletics au gardien de Hartford en demi-finale de l'America East Championship (3-2 pour les Seawolves de SBA).
footlog archives
(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Paon sur le bec" (20091118)
Le football, c'est pourtant simple. Si vous voulez mon avis, ce gardien a franchement besoin de passer en cellule de dé-gri-grisement.
footlog 2009
NB: il s'agissait de la réponse du buteur de Stony Brook Athletics au gardien de Hartford en demi-finale de l'America East Championship (3-2 pour les Seawolves de SBA).
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Original: "Paon sur le bec" (20091118)
Préparez les nécros (2009)
Ordoncques,
Raymond Domenech n'est pas mort. Patrick Vieira n'est pas mort, Thierry
Henry n'est pas mort, Thierry Roland n'est pas mort... : à la faveur
d'un but venu d'ailleurs (Nico Anelka avec la complicité d'un petit
bonhomme vert), la France a gagné en Irlande le droit d'espérer une
qualification pour la Coupe du Monde 2010.
Les rédactions, qui tenaient leurs nécrologies au chaud, ne savent pas trop si elles doivent se réjouir ou ressortir les unes d'il y a 12 ans, celles où elles réclamaient la tête d'Aimé Jacquet. Les plus couards gardent l'espoir : mercredi, pour le match retour, au moins le tiers du Stade de France sera vert. Et Le Trap n'a pas l'intention de passer à la trappe, avec ou sans le gamin de Trappe (terminé pour les vannes Abidal).
Mais mercredi, toute la France va vibrer pour ses Bleus : ses Bleus à elle s'ils passent, les Bleus à Raymond s'ils trépassent. On va peut-être même voir l'Equipe de France attaquer, c'est tout dire...
Ma religion est faite : que le meilleur gagne. Pas le meilleur en valeur absolue, mais la meilleure équipe sur le terrain. Et s'il faut subir une nouvelle Kostadinov pour soulever le trophée en 2014, so be it.
En 1993, les Bleus avaient été victimes d'une guerre artificielle entre l'OM et le PSG. En 2009, ils pourraient faire l'économie d'une guerre artificielle entre le sélectionneur et ses joueurs.
footlog 2009
footlog archives
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Original: "Préparez les nécros" (20091116)
Les rédactions, qui tenaient leurs nécrologies au chaud, ne savent pas trop si elles doivent se réjouir ou ressortir les unes d'il y a 12 ans, celles où elles réclamaient la tête d'Aimé Jacquet. Les plus couards gardent l'espoir : mercredi, pour le match retour, au moins le tiers du Stade de France sera vert. Et Le Trap n'a pas l'intention de passer à la trappe, avec ou sans le gamin de Trappe (terminé pour les vannes Abidal).
Mais mercredi, toute la France va vibrer pour ses Bleus : ses Bleus à elle s'ils passent, les Bleus à Raymond s'ils trépassent. On va peut-être même voir l'Equipe de France attaquer, c'est tout dire...
Ma religion est faite : que le meilleur gagne. Pas le meilleur en valeur absolue, mais la meilleure équipe sur le terrain. Et s'il faut subir une nouvelle Kostadinov pour soulever le trophée en 2014, so be it.
En 1993, les Bleus avaient été victimes d'une guerre artificielle entre l'OM et le PSG. En 2009, ils pourraient faire l'économie d'une guerre artificielle entre le sélectionneur et ses joueurs.
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Original: "Préparez les nécros" (20091116)
L'angoisse du gardien de but au moment du passage à niveau (2009)
Un homme s'est donné la mort en précipitant sa voiture sur le passage d'un train.
Après 8 sélections et à seulement trente deux ans, Robert Enke a décidé de raccrocher l'ensemble des crampons qui l'attachaient à cette planète. Le sélectionneur Joachim Loew comptait sur le gardien du Hannover 96 pour la Coupe du Monde 2010, sa famille pour des événements mille fois plus importants.
Ce n'est pas l'histoire d'un gardien qui s'aventure dangereusement en-dehors de sa surface, mais une tragédie humaine.
Aucun commentaire donc. Simplement une pensée pour celui qui part, et pour ceux qui restent un peu plus longtemps.
footlog 2009
footlog archives
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Original: "L'angoisse du gardien de but au moment du passage à niveau" (20091111)
Après 8 sélections et à seulement trente deux ans, Robert Enke a décidé de raccrocher l'ensemble des crampons qui l'attachaient à cette planète. Le sélectionneur Joachim Loew comptait sur le gardien du Hannover 96 pour la Coupe du Monde 2010, sa famille pour des événements mille fois plus importants.
Ce n'est pas l'histoire d'un gardien qui s'aventure dangereusement en-dehors de sa surface, mais une tragédie humaine.
Aucun commentaire donc. Simplement une pensée pour celui qui part, et pour ceux qui restent un peu plus longtemps.
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Original: "L'angoisse du gardien de but au moment du passage à niveau" (20091111)
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Ballon d'Or 2009 (2009)
France Football a
livré sa liste des 29 nominés pour la course à la seconde place
derrière Lionel Messi, incontournable Ballon d'Or 2009. Une livrée assez
classique sur l'axe Europe - AmSud, avec trois Africains pour renforcer
la légitimité mondiale, mais aucun Asiatique à se mettre sous la dent*.
Cristiano Ronaldo abandonnera donc son trophée acquis l'an dernier, voire le podium sur lequel j'aimerais bien voir s'installer un Fabregas, un Xavi, un Iniesta ou un Eto'o. Rooney risque de devoir patienter un peu, et j'attends de voir comment il rosit sous le soleil sud-africain (Linecker s'était plutôt pas mal extrait de la fournaise mexicaine il y a - bon sang déjà - près d'un quart de siècle).
En fait, il y a du talent et de la jeunesse à revendre dans cette liste, avec une bonne demi-douzaine de joueurs susceptibles de brandir le titre individuel suprême dans les années à venir. On surveillera les premiers points grapillés par certains, et les dernières miettes collectées par de plus anciens. Pour Giggs, c'est vraisemblablement la dernière chance. Pour Henry, tout dépendra probablement du résultat du barrage contre l'Irlande en novembre prochain : l'édition 2010 sera réservée aux participants à la grande fête du football, avec une prime aux vainqueurs sur les meilleurs joueurs (pas toujours le même casting).
footlog 2009
ADDENDUM 200912 : "Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence"
* Les 29+1:
Andreï Archavine (Russie, Arsenal)
Karim Benzema (France, Lyon puis Real Madrid)
Iker Casillas (Espagne, Real Madrid)
Cristiano Ronaldo (Portugal, Manchester United puis Real Madrid)
Diego (Brésil, Werder Brême puis Juventus Turin)
Didier Drogba (Côte d'Ivoire, Chelsea)
Edin Dzeko (Bosnie, Wolfsburg)
Samuel Eto'o (Cameroun, FC Barcelone puis Inter Milan)
Cesc Fabregas (Espagne, Arsenal)
Fernando Torres (Espagne, Liverpool)
Diego Forlan (Uruguay, Atletico Madrid)
Steven Gerrard (Angleterre, Liverpool)
Ryan Giggs (Pays de Galles, Manchester United)
Yoann Gourcuff (France, Bordeaux)
Thierry Henry (France, FC Barcelone)
Zlatan Ibrahimovic (Suède, Inter Milan puis FC Barcelone)
Iniesta (Espagne, FC Barcelone)
Julio Cesar (Brésil, Inter Milan)
Kakà (Brésil, Milan AC puis Real Madrid)
Frank Lampard (Angleterre, Chelsea)
Maicon (Brésil, Inter Milan)
Lionel Messi (Argentine, FC Barcelone)
Luis Fabiano (Brésil, FC Séville)
Franck Ribéry (France, Bayern Munich)
Wayne Rooney (Angleterre, Manchester United)
John Terry (Angleterre, Chelsea)
Nemanja Vidic (Serbie, Manchester United)
David Villa (Espagne, Valence)
Xavi (Espagne, FC Barcelone)
Yaya Touré (Côte d'Ivoire, FC Barcelone)
footlog archives
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Original: "Ballon d'Or 2009" (20091020)
Cristiano Ronaldo abandonnera donc son trophée acquis l'an dernier, voire le podium sur lequel j'aimerais bien voir s'installer un Fabregas, un Xavi, un Iniesta ou un Eto'o. Rooney risque de devoir patienter un peu, et j'attends de voir comment il rosit sous le soleil sud-africain (Linecker s'était plutôt pas mal extrait de la fournaise mexicaine il y a - bon sang déjà - près d'un quart de siècle).
En fait, il y a du talent et de la jeunesse à revendre dans cette liste, avec une bonne demi-douzaine de joueurs susceptibles de brandir le titre individuel suprême dans les années à venir. On surveillera les premiers points grapillés par certains, et les dernières miettes collectées par de plus anciens. Pour Giggs, c'est vraisemblablement la dernière chance. Pour Henry, tout dépendra probablement du résultat du barrage contre l'Irlande en novembre prochain : l'édition 2010 sera réservée aux participants à la grande fête du football, avec une prime aux vainqueurs sur les meilleurs joueurs (pas toujours le même casting).
footlog 2009
ADDENDUM 200912 : "Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence"
* Les 29+1:
Andreï Archavine (Russie, Arsenal)
Karim Benzema (France, Lyon puis Real Madrid)
Iker Casillas (Espagne, Real Madrid)
Cristiano Ronaldo (Portugal, Manchester United puis Real Madrid)
Diego (Brésil, Werder Brême puis Juventus Turin)
Didier Drogba (Côte d'Ivoire, Chelsea)
Edin Dzeko (Bosnie, Wolfsburg)
Samuel Eto'o (Cameroun, FC Barcelone puis Inter Milan)
Cesc Fabregas (Espagne, Arsenal)
Fernando Torres (Espagne, Liverpool)
Diego Forlan (Uruguay, Atletico Madrid)
Steven Gerrard (Angleterre, Liverpool)
Ryan Giggs (Pays de Galles, Manchester United)
Yoann Gourcuff (France, Bordeaux)
Thierry Henry (France, FC Barcelone)
Zlatan Ibrahimovic (Suède, Inter Milan puis FC Barcelone)
Iniesta (Espagne, FC Barcelone)
Julio Cesar (Brésil, Inter Milan)
Kakà (Brésil, Milan AC puis Real Madrid)
Frank Lampard (Angleterre, Chelsea)
Maicon (Brésil, Inter Milan)
Lionel Messi (Argentine, FC Barcelone)
Luis Fabiano (Brésil, FC Séville)
Franck Ribéry (France, Bayern Munich)
Wayne Rooney (Angleterre, Manchester United)
John Terry (Angleterre, Chelsea)
Nemanja Vidic (Serbie, Manchester United)
David Villa (Espagne, Valence)
Xavi (Espagne, FC Barcelone)
Yaya Touré (Côte d'Ivoire, FC Barcelone)
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Original: "Ballon d'Or 2009" (20091020)
Le pouvoir d'Arsène Wenger (2009)
L'Equipe Magazine nous a fait don d'une interview d'Arsène Wenger ce week-end.
Ce qu'il y a de bien avec l'Arsène, c'est qu'il parle rarement pour ne rien dire. Toujours dans son intérêt, mais avec une efficacité redoutable.
Et une certaine franchise. "Oui, je suis un homme de pouvoir, je n'ai pas peur de le dire. Le pouvoir, c'est d'avoir la liberté d'imprimer votre façon de penser, et de "faire". Je pourrais vous dire : "non, je déteste le pouvoir, je suis là parce que j'ai un talent exceptionnel", mais c'est faux. J'aime forcément le pouvoir. Il n'y a pas de hasard dans la vie, même si c'est inconscient. Si vous restez quelque part, c'est que vous aimez ça."
Wenger est un manager général et un stratège plus qu'un entraîneur et un tacticien. Son job est d'obtenir le meilleur des hommes dont il a la responsabilité, et les meilleurs moyens de la part des personnes auxquelles il doit son poste.
Wenger n'est pas un homme politique mais un homme qui assume sa dimension politique. Et n'hésite pas à rappeler à ses actionnaires que le Real sera toujours "le club de (s)on enfance".
A toutes fins utiles...
footlog 2009
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(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Le pouvoir d'Arsène Wenger" (20091019)
Ce qu'il y a de bien avec l'Arsène, c'est qu'il parle rarement pour ne rien dire. Toujours dans son intérêt, mais avec une efficacité redoutable.
Et une certaine franchise. "Oui, je suis un homme de pouvoir, je n'ai pas peur de le dire. Le pouvoir, c'est d'avoir la liberté d'imprimer votre façon de penser, et de "faire". Je pourrais vous dire : "non, je déteste le pouvoir, je suis là parce que j'ai un talent exceptionnel", mais c'est faux. J'aime forcément le pouvoir. Il n'y a pas de hasard dans la vie, même si c'est inconscient. Si vous restez quelque part, c'est que vous aimez ça."
Wenger est un manager général et un stratège plus qu'un entraîneur et un tacticien. Son job est d'obtenir le meilleur des hommes dont il a la responsabilité, et les meilleurs moyens de la part des personnes auxquelles il doit son poste.
Wenger n'est pas un homme politique mais un homme qui assume sa dimension politique. Et n'hésite pas à rappeler à ses actionnaires que le Real sera toujours "le club de (s)on enfance".
A toutes fins utiles...
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Original: "Le pouvoir d'Arsène Wenger" (20091019)
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Real Madrid
Arsenal Blackburn 75e mn - exterieur jour (2009)
Cesc Fabregas
vient de lancer de l'exter droit Arshavin le long de la ligne, en
position de defenseur latéral gauche. Une relance entre deux attaquants
adverses suite à une situation chaude dans la surface d'Arsenal.
Le jeune Russe remonte rapidement mais sans grande opposition le terrain, laisse passer un appel sur sa gauche au moment d'entrer dans la surface, et décale de l'exter du droit sur le même Fabregas, complétant un une-deux de soixante mètres.
Le jeune Espagnol touche à peine la balle pour prolonger sur Theo Walcott de l'exter droit. On a déjà vu cette passe aveugle à Mexico en 70 ou avec Magic Johnson à la fin des années 80.
Le jeune Anglais transforme l'action d'un exter droit croisé à raz de terre.
Le foot c'est simple et c'est beau.
5-2 pour Arsenal et nous n'en sommes qu'à la 75e.
Le vieil Arsène bouillonnait de voir ses p'tits gars malmenés depuis le début de la partie, mais quand ils se décident à lâcher les chevaux...
Bon je retourne à ce que je faisais avant de lacher ces quelques phrases, juste histoire de marquer le coup.
On en est à la 82e. Les Gunners ont failli marquer encore deux fois, et peuvent eux aussi encore marquer le coup.
footlog 2009
ADDENDUM 20091004
Pas eu le temps de me logouter après le post, tiens : Bendtner colle le 6e. Avant même les arrêts de jeu.
A ce niveau de jeu ce n'est plus du jeu. Ou plutôt c'est trop purement ludique.
footlog archives
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Original: "Arsenal Blackburn 75e mn - exterieur jour" (20091004)
Le jeune Russe remonte rapidement mais sans grande opposition le terrain, laisse passer un appel sur sa gauche au moment d'entrer dans la surface, et décale de l'exter du droit sur le même Fabregas, complétant un une-deux de soixante mètres.
Le jeune Espagnol touche à peine la balle pour prolonger sur Theo Walcott de l'exter droit. On a déjà vu cette passe aveugle à Mexico en 70 ou avec Magic Johnson à la fin des années 80.
Le jeune Anglais transforme l'action d'un exter droit croisé à raz de terre.
Le foot c'est simple et c'est beau.
5-2 pour Arsenal et nous n'en sommes qu'à la 75e.
Le vieil Arsène bouillonnait de voir ses p'tits gars malmenés depuis le début de la partie, mais quand ils se décident à lâcher les chevaux...
Bon je retourne à ce que je faisais avant de lacher ces quelques phrases, juste histoire de marquer le coup.
On en est à la 82e. Les Gunners ont failli marquer encore deux fois, et peuvent eux aussi encore marquer le coup.
footlog 2009
ADDENDUM 20091004
Pas eu le temps de me logouter après le post, tiens : Bendtner colle le 6e. Avant même les arrêts de jeu.
A ce niveau de jeu ce n'est plus du jeu. Ou plutôt c'est trop purement ludique.
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Original: "Arsenal Blackburn 75e mn - exterieur jour" (20091004)
Roman KIM (2009)
Il est Coréen et s'appelle Kim mais comme son prénom et ses traits l'indiquent, il ne provient pas du moule habituel.
Du haut de ses 179 cm et de ses 13 ans*, Roman Kim est visiblement plus en avance sur le plan physique que scolaire : né en Russie, il a dû ratrapper le redoutable système éducatif local et n'entrera en "middle school" (l'équivalent de la 6e) qu'en Mars prochain.
Mais en passant de la Shingok Elementary School de Uijeongbu (juste au Nord de Séoul) à la Pochul Middle School de Pohang (dans le sud-est de la Corée), ce nouveau Roman fait déjà quelque part un choix professionnel : POSCO, le géant sidérurgique de la ville et du pays, a créé la Pocheol / Pohang Jecheol Middle School pour éduquer les enfants de ses employés, mais détient aussi le club des Pohang Steelers... et s'assure ainsi le futur recrutement de ce prometteur gardien de buts.
Kim Roman se voit déjà, comme son idole Park Ji-sung, jouer à Manchester United et en Coupe du Monde avec le brassard de capitaine de l'équipe nationale.
Je serais tenté de lui dire "passe d'abord ton bac". Et puis pas la peine d'aller en Premier League pour jouer la Ligue des Champions : hier soir, les Pohang Steelers de Sergio Farias viennent se qualifier pour les demi-finales de l'AFC Champions League, où ils n'affronteront finalement pas le FC Seoul mais son tombeur du jour, le Umm Salal de Gérard Gili.
Ces Qataris semblent a la portée des Steelers, même s'ils ont eu toutes les peines du monde à éliminer les Ouzbeks du FC Bunyodkor (4-1 a.p.). Si vous avez du mal à retenir le nom de ce club sans passé mais pas sans histoires, appelez-le FC Pétrodollars : hier soir ils alignaient tout de même dans leurs rangs un ancien Ballon d'Or (Rivaldo) et un entraîneur vainqueur de la Coupe du Monde (Scolari)... et au match aller sans doute un ou deux officiels de l'arbitrage.
footlog 2009
(initialement publié sur footlog archives : "KIM Roman, 13 ans, prêt pour la CM 2014 ou 2018 ?")
footlog archives
(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Roman KIM" (20091001)
Du haut de ses 179 cm et de ses 13 ans*, Roman Kim est visiblement plus en avance sur le plan physique que scolaire : né en Russie, il a dû ratrapper le redoutable système éducatif local et n'entrera en "middle school" (l'équivalent de la 6e) qu'en Mars prochain.
Mais en passant de la Shingok Elementary School de Uijeongbu (juste au Nord de Séoul) à la Pochul Middle School de Pohang (dans le sud-est de la Corée), ce nouveau Roman fait déjà quelque part un choix professionnel : POSCO, le géant sidérurgique de la ville et du pays, a créé la Pocheol / Pohang Jecheol Middle School pour éduquer les enfants de ses employés, mais détient aussi le club des Pohang Steelers... et s'assure ainsi le futur recrutement de ce prometteur gardien de buts.
Kim Roman se voit déjà, comme son idole Park Ji-sung, jouer à Manchester United et en Coupe du Monde avec le brassard de capitaine de l'équipe nationale.
Je serais tenté de lui dire "passe d'abord ton bac". Et puis pas la peine d'aller en Premier League pour jouer la Ligue des Champions : hier soir, les Pohang Steelers de Sergio Farias viennent se qualifier pour les demi-finales de l'AFC Champions League, où ils n'affronteront finalement pas le FC Seoul mais son tombeur du jour, le Umm Salal de Gérard Gili.
Ces Qataris semblent a la portée des Steelers, même s'ils ont eu toutes les peines du monde à éliminer les Ouzbeks du FC Bunyodkor (4-1 a.p.). Si vous avez du mal à retenir le nom de ce club sans passé mais pas sans histoires, appelez-le FC Pétrodollars : hier soir ils alignaient tout de même dans leurs rangs un ancien Ballon d'Or (Rivaldo) et un entraîneur vainqueur de la Coupe du Monde (Scolari)... et au match aller sans doute un ou deux officiels de l'arbitrage.
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(initialement publié sur footlog archives : "KIM Roman, 13 ans, prêt pour la CM 2014 ou 2018 ?")
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Original: "Roman KIM" (20091001)
Pas totalement coupé le cordon footbilical, mais n'en faisons pas une dragédie (2009)
Nul
ne l'ignore, nul n'y échappe. L'humanité est condamnée à subir trois
phénomènes aussi tragiques qu'inéluctables : la mort, les impôts, et la
crise saisonnière du PSG.
Des trois il est permis de rire, et pas seulement lorsque l'on s'appelle Robert et que l'on ne s'appelle plus reviens. D'ailleurs, une "dragédie" ne prête-t-elle pas parfois à sourire, alors même qu'elle fait office de faire-part de mortalité ?
Si
ça vous paraît morbide, que dire des dragées ? Officiellement, on
distribue ces friandises vaguement écoeurantes pour faire plaisir aux
proches... mais en réalité on cherche avant tout à exorciser un heureux
événement. Et si possible au passage à casser le dentier de
l'increvable tante Cunégonde.
Mais en dépit de son titre et de ma fâcheuse tendance à semer des blogules sur gazon souvent amers à propos du club de mon coeur, "dragédies" ne traîte pas des déboires du PSG. Il n'y est même pas question de ballon rond.
Enfin si. Un peu. A travers une définition, l'évocation d'un moment de grâce dans la morne plaine de Bagatelle, ou encore le souvenir confus d'une autre équipe évoluant au Stade Terminal...
Bien sûr, comme ces actionnaires du PSG qui promettent une qualification en Ligue des Champions, c'est de la pure fiction : vous ne rencontrerez jamais ces vers géants, vous ne visiterez jamais cette bibliothèque qui se mord la queue, vous n'aurez jamais besoin des services d'un dévisseur (et a fortiori du Dévisseur)...
Malgré tout, et à toutes faims utiles, je vous propose cette poignée de dragédies s'étalant sur trois décennies et trois continents :
Stéphane
"dragédies (la mer amarrée et autres dragédies)"ISBN:978-1449510916
en vente sur Amazon.com (attention : sur le site US uniquement, cet opuscule étant publié aux USA comme "La Ligue des Oubliés" - voir "La Ligue des Oubliés débarque sur Amazon").
le site du livre : dragedies.com
footlog 2009
footlog archives
(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Pas totalement coupé le cordon footbilical, mais n'en faisons pas une dragédie" (20090930)
Des trois il est permis de rire, et pas seulement lorsque l'on s'appelle Robert et que l'on ne s'appelle plus reviens. D'ailleurs, une "dragédie" ne prête-t-elle pas parfois à sourire, alors même qu'elle fait office de faire-part de mortalité ?
![]() |
dragédies |
Mais en dépit de son titre et de ma fâcheuse tendance à semer des blogules sur gazon souvent amers à propos du club de mon coeur, "dragédies" ne traîte pas des déboires du PSG. Il n'y est même pas question de ballon rond.
Enfin si. Un peu. A travers une définition, l'évocation d'un moment de grâce dans la morne plaine de Bagatelle, ou encore le souvenir confus d'une autre équipe évoluant au Stade Terminal...
Bien sûr, comme ces actionnaires du PSG qui promettent une qualification en Ligue des Champions, c'est de la pure fiction : vous ne rencontrerez jamais ces vers géants, vous ne visiterez jamais cette bibliothèque qui se mord la queue, vous n'aurez jamais besoin des services d'un dévisseur (et a fortiori du Dévisseur)...
Malgré tout, et à toutes faims utiles, je vous propose cette poignée de dragédies s'étalant sur trois décennies et trois continents :
- La mer amarréeEn vous priant d'accepter une expression de sentiments aussi peu distinguée,
- de Vermis Seoulis
- Le Dévisseur
- Le regard d'un ami
- Brouillon
- La Bibliothèque de Babel II
- Neige Sale
- Paranoïa
- Etat de Grâce
- Nouvelles du front
- Le Salon de Lecture
- La Malédiction
- Comin'up next
- Si Paris m'était comptée
- Le blues de la grille
- Rendez-vous Rue Van Boo
- L'Année du Chien
Stéphane
"dragédies (la mer amarrée et autres dragédies)"ISBN:978-1449510916
en vente sur Amazon.com (attention : sur le site US uniquement, cet opuscule étant publié aux USA comme "La Ligue des Oubliés" - voir "La Ligue des Oubliés débarque sur Amazon").
le site du livre : dragedies.com
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Original: "Pas totalement coupé le cordon footbilical, mais n'en faisons pas une dragédie" (20090930)
Scoop : Flavio Briatore au PSG ! (2009)
Exclusif : avec la complicité de l'Agence Fausse Presse, footlog
est parvenu à interviewer Flavio Briatore à sa sortie de la Fédération
Internationale de l'Automobile où il vient de se voir notifier son
expulsion à vie du monde de la Formule 1 suite au scandale de l'accident
provoqué au GP de Singapour 2008.
footlog: "Alors Flavio, pas trop amer ? Renault s'en tire avec un sursis et vous donnez l'impression de jouer le rôle du fusible idéal..."
Flavio Briatore : De toute façon j'avais fait le tour de la question - plusieurs centaines de fois le tour de chaque circuit pour être précis... La F1 commençait sérieusement à me sortir par les oreilles et d'ailleurs je suis à moitié sourd avec tous ces bruits de moteurs. Je devenais dingue après toutes ces années : j'en étais arrivé à chronométrer mes pauses pipi, c'est vous dire ! Non, la F1, c'est fini pour moi, terminé, basta !
footlog : "On passe à autre chose, donc. Mais quoi ? Vous dirigez avec Bernie Ecclestone le club londonien des Queen Park Rangers, et Lakshmi Mittal vous a rejoint avec tous ses milliards... Le Big Four de la Premier League peut commencer à se faire du mourron, non ?"
Flavio Briatore : Non. La Premier League aussi c'est fini. A partir du moment où je suis banni d'un sport je ne peux plus diriger un club là bas. Et puis Manchester City aussi a levé des milliards, la concurrence est trop forte. C'est ici que je veux et vais réussir (NB: il montre le sol de la Place de la Concorde où siège la FIA).
footlog : "Ici à Paris ? Vous allez reprendre le PSG ?"
Flavio Briatore : C'est mon objectif. Et si ça se fait pas je construirai quand même un stade ici-même. Alain Prost a bien paradé sur cette place dans sa McLaren pour fêter son titre, et les tribunes pourraient servir aux défilés du 14 juillet, pourquoi pas ? Mais le PSG ne peut pas m'échapper, je suis très confiant.
footlog : "C'est un gros scoop ça, Flavio ! Vous avec déjà commencé à négocier avec les actionnaires du club ?"
Flavio Briatore : J'ai déjà rencontré une demi-douzaine de dirigeants, un à chacun de mes passages dans votre belle capitale. Marrant, ils ont tous le titre de président à Paris ! Et je peux m'entendre facilement avec les actionnaires : Colony Capital et moi sommes complémentaires. Eux sont experts en immobilier et moi en sport. Et il y a du potentiel dans cette équipe...
footlog : "Quels sont à vos yeux les meilleurs atouts sportifs du PSG ?"
Flavio Briatore : Le club a des joyaux sous-exploités. Tenez Ceara, par exemple. Vous vous souvenez de son coup de génie contre Caen ? Ce joueur saura parfaitement se crasher artistiquement dans les panneaux publicitaires. Non seulement on manipule le résultat du match mais en plus on fait une fleur à un sponsor. Win-win-(et comme d'habitude avec le PSG) lose. Il faut aussi mieux capitaliser sur les anciens joueurs : Bernard Mendy a une dynamique formidable et une capacité d'aspiration phénoménale - j'ai encore en mémoire son dépassement de Roberto Carlos dans la chicane droite du Stade de France en sixième vitesse, une merveille. Ce type est capable de supporter une bonne centaine de G de pression.
footlog : "Une centaine ? Vous n'exagérez pas un peu sur ce coup ?"
Flavio Briatore : Pas du tout. Bernard est tout à fait en mesure de résister aux sifflets de 100 abonnés de la tribune G. Bon, je suis un peu moins sûr pour Boulogne et Auteuil mais il ne joue ni dans les buts ni dans l'axe donc pas de problème pour lui.
footlog : "Au niveau recrutement, à part le retour de Mendy, vous avez d'autres noms en tête ?"
Flavio Briatore : L'entraîneur. Il me faut un expert et je ne vois personne de mieux qualifié que Jean Todt.
footlog : "Jean Todt ? Mais il ne connait rien au foot !"
Flavio Briatore : Comme moi d'ailleurs ! Mais là n'est pas la question. Avec lui les joueurs vont enquiller les tours de piste sans rechignier. Et puis personne ne gèrera avec autant d'autorité et d'efficacité la profondeur de notre banc : Jeannot sait sélectionner les joueurs par un simple jet de pièce en l'air.
foolog : "Le projet semble parfaitement cohérent, en effet... Flavio Briatore au PSG, on peut donc annoncer le scoop à nos lecteurs ?"
Flavio Briatore : Avec ma bénédiction ! Mais faites vite : Sarkozy essaye de me prendre de vitesse en plaçant le club chez son ami Arnaud Lagardère. Le petit veut relancer le Matra Racing de son père avec Luis Fernandez et Alain Prost au volant.
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(NOUVEAU : suivez footlog sur Twitter @footlogbis)
Original: "Scoop : Flavio Briatore au PSG !" (20090923)
footlog: "Alors Flavio, pas trop amer ? Renault s'en tire avec un sursis et vous donnez l'impression de jouer le rôle du fusible idéal..."
Flavio Briatore : De toute façon j'avais fait le tour de la question - plusieurs centaines de fois le tour de chaque circuit pour être précis... La F1 commençait sérieusement à me sortir par les oreilles et d'ailleurs je suis à moitié sourd avec tous ces bruits de moteurs. Je devenais dingue après toutes ces années : j'en étais arrivé à chronométrer mes pauses pipi, c'est vous dire ! Non, la F1, c'est fini pour moi, terminé, basta !
footlog : "On passe à autre chose, donc. Mais quoi ? Vous dirigez avec Bernie Ecclestone le club londonien des Queen Park Rangers, et Lakshmi Mittal vous a rejoint avec tous ses milliards... Le Big Four de la Premier League peut commencer à se faire du mourron, non ?"
Flavio Briatore : Non. La Premier League aussi c'est fini. A partir du moment où je suis banni d'un sport je ne peux plus diriger un club là bas. Et puis Manchester City aussi a levé des milliards, la concurrence est trop forte. C'est ici que je veux et vais réussir (NB: il montre le sol de la Place de la Concorde où siège la FIA).
footlog : "Ici à Paris ? Vous allez reprendre le PSG ?"
Flavio Briatore : C'est mon objectif. Et si ça se fait pas je construirai quand même un stade ici-même. Alain Prost a bien paradé sur cette place dans sa McLaren pour fêter son titre, et les tribunes pourraient servir aux défilés du 14 juillet, pourquoi pas ? Mais le PSG ne peut pas m'échapper, je suis très confiant.
footlog : "C'est un gros scoop ça, Flavio ! Vous avec déjà commencé à négocier avec les actionnaires du club ?"
Flavio Briatore : J'ai déjà rencontré une demi-douzaine de dirigeants, un à chacun de mes passages dans votre belle capitale. Marrant, ils ont tous le titre de président à Paris ! Et je peux m'entendre facilement avec les actionnaires : Colony Capital et moi sommes complémentaires. Eux sont experts en immobilier et moi en sport. Et il y a du potentiel dans cette équipe...
footlog : "Quels sont à vos yeux les meilleurs atouts sportifs du PSG ?"
Flavio Briatore : Le club a des joyaux sous-exploités. Tenez Ceara, par exemple. Vous vous souvenez de son coup de génie contre Caen ? Ce joueur saura parfaitement se crasher artistiquement dans les panneaux publicitaires. Non seulement on manipule le résultat du match mais en plus on fait une fleur à un sponsor. Win-win-(et comme d'habitude avec le PSG) lose. Il faut aussi mieux capitaliser sur les anciens joueurs : Bernard Mendy a une dynamique formidable et une capacité d'aspiration phénoménale - j'ai encore en mémoire son dépassement de Roberto Carlos dans la chicane droite du Stade de France en sixième vitesse, une merveille. Ce type est capable de supporter une bonne centaine de G de pression.
footlog : "Une centaine ? Vous n'exagérez pas un peu sur ce coup ?"
Flavio Briatore : Pas du tout. Bernard est tout à fait en mesure de résister aux sifflets de 100 abonnés de la tribune G. Bon, je suis un peu moins sûr pour Boulogne et Auteuil mais il ne joue ni dans les buts ni dans l'axe donc pas de problème pour lui.
footlog : "Au niveau recrutement, à part le retour de Mendy, vous avez d'autres noms en tête ?"
Flavio Briatore : L'entraîneur. Il me faut un expert et je ne vois personne de mieux qualifié que Jean Todt.
footlog : "Jean Todt ? Mais il ne connait rien au foot !"
Flavio Briatore : Comme moi d'ailleurs ! Mais là n'est pas la question. Avec lui les joueurs vont enquiller les tours de piste sans rechignier. Et puis personne ne gèrera avec autant d'autorité et d'efficacité la profondeur de notre banc : Jeannot sait sélectionner les joueurs par un simple jet de pièce en l'air.
foolog : "Le projet semble parfaitement cohérent, en effet... Flavio Briatore au PSG, on peut donc annoncer le scoop à nos lecteurs ?"
Flavio Briatore : Avec ma bénédiction ! Mais faites vite : Sarkozy essaye de me prendre de vitesse en plaçant le club chez son ami Arnaud Lagardère. Le petit veut relancer le Matra Racing de son père avec Luis Fernandez et Alain Prost au volant.
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Original: "Scoop : Flavio Briatore au PSG !" (20090923)
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La France fidèle à elle-même (2009)
La France a évité
de peu la catastrophe en abandonnant deux points face à la Roumanie,
mais il s'en est fallu d'un rien pour qu'elle ne rafle les trois points
de la victoire.
Heureusement, Julien Escudé s'est dévoué pour sauver les apparences : son but contre son camp a effacé l'avantage acquis par un Thierry Henry dont ce n'est décidément pas la première erreur à ce niveau. Personne n'a oublié sa boulette à la 68e minute d'un match décisif contre l'Eire, à l'origine de la qualification pour une Coupe du Monde de sinistre mémoire. Pour rappel : rompant avec les bonnes habitudes prises en Corée, la France avait alors plongé jusqu'en finale, manquant même d'un cheveu l'humiliation suprême. Il avait fallu que capitaine Zizou prenne les choses en main (et en tête) pour éviter un tragique remake de 1998.
Mais Zidane n'est plus là, et il ne faudrait pas que ce demi-faux pas au Stade de France remette en cause la stratégie jusqu'ici couronnée de succès de Raymond Domenech. Les Bleus doivent impérativement perdre en Serbie pour espérer manquer les barrages, un exercice toujours périlleux qui risquerait de déboucher sur une qualification, flanquant par terre l'oeuvre de toute une vie.
Il n'est pas donné à tout le monde de réussir aussi brillamment avec de tels moyens du bord : même en privant la sélection d'éléments indispensables, Domenech est obligé de composer avec des joueurs trop forts pour l'objectif ambitieux qu'il s'est fixé. Ne faire pas jouer ou faire déjouer Benzéma, c'est malin, mais sortir Gourcuff, ça confine au génie.
J'avoue m'être trompé en croyant que Raymond la Non-Science visait le nul contre les Féroe (voir "Aux portes de l'exploit"). En réalité, ce qui le motive c'est ce challenge incroyable : réussir à ne pas qualifier dans un groupe composé de la Serbie, de la Lituanie, de l'Autriche, de la Roumanie, et des Iles Féroé, une équipe composée de joueurs que s'arrachent à prix d'or les meilleurs clubs du monde.
Quel talent.
footlog 2009
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Original: "La France fidèle à elle-même" (20090906)
Heureusement, Julien Escudé s'est dévoué pour sauver les apparences : son but contre son camp a effacé l'avantage acquis par un Thierry Henry dont ce n'est décidément pas la première erreur à ce niveau. Personne n'a oublié sa boulette à la 68e minute d'un match décisif contre l'Eire, à l'origine de la qualification pour une Coupe du Monde de sinistre mémoire. Pour rappel : rompant avec les bonnes habitudes prises en Corée, la France avait alors plongé jusqu'en finale, manquant même d'un cheveu l'humiliation suprême. Il avait fallu que capitaine Zizou prenne les choses en main (et en tête) pour éviter un tragique remake de 1998.
Mais Zidane n'est plus là, et il ne faudrait pas que ce demi-faux pas au Stade de France remette en cause la stratégie jusqu'ici couronnée de succès de Raymond Domenech. Les Bleus doivent impérativement perdre en Serbie pour espérer manquer les barrages, un exercice toujours périlleux qui risquerait de déboucher sur une qualification, flanquant par terre l'oeuvre de toute une vie.
Il n'est pas donné à tout le monde de réussir aussi brillamment avec de tels moyens du bord : même en privant la sélection d'éléments indispensables, Domenech est obligé de composer avec des joueurs trop forts pour l'objectif ambitieux qu'il s'est fixé. Ne faire pas jouer ou faire déjouer Benzéma, c'est malin, mais sortir Gourcuff, ça confine au génie.
J'avoue m'être trompé en croyant que Raymond la Non-Science visait le nul contre les Féroe (voir "Aux portes de l'exploit"). En réalité, ce qui le motive c'est ce challenge incroyable : réussir à ne pas qualifier dans un groupe composé de la Serbie, de la Lituanie, de l'Autriche, de la Roumanie, et des Iles Féroé, une équipe composée de joueurs que s'arrachent à prix d'or les meilleurs clubs du monde.
Quel talent.
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Original: "La France fidèle à elle-même" (20090906)
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Lens bat Chelsea 0 Katuka contre 1 (2009)
La sanction est
tombée par la FIFA et non par l'UEFA mais sur le fond, Michel Platini
doit se réjouir du verdict de la DRC (Dispute Resolution Chamber /
Chambre de Résolution des Contentieux) : Lens s'est bien fait voler en
2008 quand Chelsea a forcé son joueur Gaël Katuka à résilier son contrat
avec les Sang et Or.
A l'époque âgé de moins de 16 ans et international -17 ans, Katuka avait passé plus de la moitié de sa
vie au sein de son club formateur.
Katuka va payer : 780.000 euros de compensation pour Lens, et quelques mois de réflexion pendant qu'il soigne la grave blessure qui l'éloigne des terrains depuis le début de l'année.
Chelsea va payer : 130.000 euros de compensation pour Lens, mais surtout interdiction de recruter le moindre joueur jusqu'au mercato d'hiver 2010-2011 (aucune entrée cet hiver ni l'été prochain).
Sur son site ("Statement on FIFA sanctions" - 20090903), Chelsea entend faire "l'appel le plus fort possible" d'une décision "extraordinairement arbitraire", jugeant la sanction "sans précédent à ce niveau et totalement disproportionnée".
Naturellement, Gervais Martel applaudit la décision. Le gain financier importe moins que le message adressé aux grands clubs : tout n'est pas permis, et la formation doit être protégée.
Le message s'adresse aussi et surtout aux joueurs et agents de joueurs : le joueur fautif paye six fois plus que le club fautif. Il est responsable de ses choix et non une marchandise. Il ne doit surtout pas se défausser sur les autres mais assumer son comportement jusqu'au bout.
La morale de l'histoire : le grand méchant loup est puni, mais le petit chaperon rouge et or est encore plus coupable s'il cherche illégalement à devenir un petit chaperon bleu.
Quant à mère-grand, elle a toutes ses dents, merci pour elle : la FIFA va peut-être réussir sa Coupe du Monde avec des stades prêts à temps, tandis que le pauvre Platoche espère toujours un miracle pour Pologne - Ukraine 2012.
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Original: "Lens bat Chelsea 0 Katuka contre 1" (20090904)
A l'époque âgé de moins de 16 ans et international -17 ans, Katuka avait passé plus de la moitié de sa
vie au sein de son club formateur.
Katuka va payer : 780.000 euros de compensation pour Lens, et quelques mois de réflexion pendant qu'il soigne la grave blessure qui l'éloigne des terrains depuis le début de l'année.
Chelsea va payer : 130.000 euros de compensation pour Lens, mais surtout interdiction de recruter le moindre joueur jusqu'au mercato d'hiver 2010-2011 (aucune entrée cet hiver ni l'été prochain).
Sur son site ("Statement on FIFA sanctions" - 20090903), Chelsea entend faire "l'appel le plus fort possible" d'une décision "extraordinairement arbitraire", jugeant la sanction "sans précédent à ce niveau et totalement disproportionnée".
Naturellement, Gervais Martel applaudit la décision. Le gain financier importe moins que le message adressé aux grands clubs : tout n'est pas permis, et la formation doit être protégée.
Le message s'adresse aussi et surtout aux joueurs et agents de joueurs : le joueur fautif paye six fois plus que le club fautif. Il est responsable de ses choix et non une marchandise. Il ne doit surtout pas se défausser sur les autres mais assumer son comportement jusqu'au bout.
La morale de l'histoire : le grand méchant loup est puni, mais le petit chaperon rouge et or est encore plus coupable s'il cherche illégalement à devenir un petit chaperon bleu.
Quant à mère-grand, elle a toutes ses dents, merci pour elle : la FIFA va peut-être réussir sa Coupe du Monde avec des stades prêts à temps, tandis que le pauvre Platoche espère toujours un miracle pour Pologne - Ukraine 2012.
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Original: "Lens bat Chelsea 0 Katuka contre 1" (20090904)
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Nick Hornby : Carton Jaune / Fever Pitch (2009)
Football et littérature font plus souvent bon ménage qu'on ne le pense, et cet ouvrage ravira les amateurs de football comme les amateurs de bonnes pages, les vrais supporters qui ont le malheur de supporter un club maudit (le "boring Arsenal" pré-Wengerien) contre vents et marées, comme les vrais héros de ce livre : ceux qui supportent ces vrais supporters au quotidien en dépit de leurs innombrables travers.
![]() |
Carton jaune |
Et question
travers, Nick Hornby nous régale au fil de comptes-rendus de matchs
perdus d'avance : ceux de son club contre des adversaires plus
brillants, le sien contre sa propre obsession.
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Original: "Nick Hornby : Carton Jaune / Fever Pitch" (20090828)
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Serissima : Serie A Plus ou Moins (2009)
L'Italie va mal.
Les Champions du Monde se portent toujours mieux que leurs voisins transalpins (eux au moins seront du voyage pour la Coupe du Monde 2010), mais le championnat souffre face à ses rivaux Espagnols et Anglais.
L'âge d'or des décennies 1980-1990 semble révolu, et l'arbre vieillissant du Milan AC ne suffit plus à cacher l'absence de forêt dans les compétitions continentales. Kaka a rejoint la Liga, et le seul moyen d'attirer une star semble de l'échanger avec une autre (Eto'o contre Ibrahimovic).
La Serie A a donc engagé une rupture avec la Serie B comparable à celle qui donna naissance à la Premier League en Angleterre en 1992 : à partir de la saison 2010-2011, les deux divisions seront gérées de façon indépendante l'une de l'autre. La décision, prise en juillet dernier, vient d'être ratifiée ce mardi.
Depuis 2007, les droits TV se négociaient club par club, renforçant les décalages entre l'élite et le reste. Serie A et B faisaient néanmoins bloc. Désormais, l'élite peut négocier des contrats encore plus juteux, et renforcer la cohérence de son offre commerciale. On peut s'attendre à un rebranding, le "A" n'ayant aucun sens sans son "B". Pourquoi pas "Serissima" pendant qu'on y est ?
En revanche, les clubs ne se sont pas entendus sur la proposition du gouvernement de créer des cartes de supporters sécurisées pour endiguer la pandémie de violence dans les stades... à chacun ses priorités.
C'est pour cela que l'Italie va mal.
Au moins, avant de transformer leur championnat en grand barnum, les Anglais avaient-ils fait le ménage, revu la sécurité, repensé les stades, tiré les leçons du Heysel et de Hillsborough. Mais sur fond de crise financière et avec un Berlusconi à la tête du pays, les Italiens prennent le risque de cristalliser une situation fondamentalement malsaine.
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Original: "Serissima : Serie A Plus ou Moins" (20080826)
Les Champions du Monde se portent toujours mieux que leurs voisins transalpins (eux au moins seront du voyage pour la Coupe du Monde 2010), mais le championnat souffre face à ses rivaux Espagnols et Anglais.
L'âge d'or des décennies 1980-1990 semble révolu, et l'arbre vieillissant du Milan AC ne suffit plus à cacher l'absence de forêt dans les compétitions continentales. Kaka a rejoint la Liga, et le seul moyen d'attirer une star semble de l'échanger avec une autre (Eto'o contre Ibrahimovic).
La Serie A a donc engagé une rupture avec la Serie B comparable à celle qui donna naissance à la Premier League en Angleterre en 1992 : à partir de la saison 2010-2011, les deux divisions seront gérées de façon indépendante l'une de l'autre. La décision, prise en juillet dernier, vient d'être ratifiée ce mardi.
Depuis 2007, les droits TV se négociaient club par club, renforçant les décalages entre l'élite et le reste. Serie A et B faisaient néanmoins bloc. Désormais, l'élite peut négocier des contrats encore plus juteux, et renforcer la cohérence de son offre commerciale. On peut s'attendre à un rebranding, le "A" n'ayant aucun sens sans son "B". Pourquoi pas "Serissima" pendant qu'on y est ?
En revanche, les clubs ne se sont pas entendus sur la proposition du gouvernement de créer des cartes de supporters sécurisées pour endiguer la pandémie de violence dans les stades... à chacun ses priorités.
C'est pour cela que l'Italie va mal.
Au moins, avant de transformer leur championnat en grand barnum, les Anglais avaient-ils fait le ménage, revu la sécurité, repensé les stades, tiré les leçons du Heysel et de Hillsborough. Mais sur fond de crise financière et avec un Berlusconi à la tête du pays, les Italiens prennent le risque de cristalliser une situation fondamentalement malsaine.
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Original: "Serissima : Serie A Plus ou Moins" (20080826)
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La martingale du Martégal (2009)
But.
Je repense à Denisot lâchant le mot comme on dit "tiens, une mouche" entre la poire et le fromage à la fin d'un repas bien arrosé. C'était un Chypre-France qualificatif à la Coupe du Monde 1982, à une époque ou la France gagnait tous ses matchs contre les fameuses "petites équipes" avec un minimum de quatre buts d'écart.
But.
En l'occurence, cela devait être le six ou septième pion, sur un authentique champ de patates. Rien à voir avec le "champ de patates" ferogien dénoncé par Domenech pour excuser le score des Bleus à Thorshavn.
But.
1 à 0, donc, sur le même terrain où les mêmes Bleus avaient gagné 6 à 0 il y a deux ans, un siècle, une éternité. Déjà, à l'époque, je repensais à cette goleza contre les Chypriotes (voir "L'eau feroegineuse, oui"). Mais je radote, je radote, et d'ailleurs
But.
1 à 0 contre Mikkelsen, Bo, Tor Naes, Benjaminsen, Lokin, Samuelsen, Holst, Gregerssen, Davidsen, Olsen, Danielsen, sans oublier les remplaçants Edmundsson et Borg. Pas Borg Bjorn mais Borg Jakup a, le bientôt trentenaire du B36 Torshavn. Une pointure, ce Jakup a Borg : il a été nommé Footballeur de l'Année en Premier League en 2006 (Premier League de Faroe), a joué dans un grand club étranger (pour le Odense BK, une apparition en championnat pendant la saison 2003-2004), figure dans le top cinq des feroegiens les plus capés de tous les temps avec une soixantaine de matchs sous le maillot national, et a même planté deux buts en sélection (les deux à domicile, contre le Kazakhstan en 2003 et Malte en 2004). Excusez du peu.
But.
1 à 0. Excusez du peu.
But.
Tir en pivot d'André-Pierre Gignac, la France est toujours en vie dans la course à l'AfSud. La martingale du Martégal.
But.
Un but à la Lacombe. On souhaite au Toulousain de trouver le chemin des filets à domicile plus rapidement que son glorieux prédécesseur tricolore, qui dut attendre le crépuscule de sa carrière pour vaincre le signe indien au Parc des Princes.
But.
Contre les Roumains, par exemple. Et si APG pouvait remettre ça chez les Serbes, je promets de ne jamais lui demander d'arrêter de sucer son pouce.
footlog
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Original: "La martingale du Martégal" (20090813)
Je repense à Denisot lâchant le mot comme on dit "tiens, une mouche" entre la poire et le fromage à la fin d'un repas bien arrosé. C'était un Chypre-France qualificatif à la Coupe du Monde 1982, à une époque ou la France gagnait tous ses matchs contre les fameuses "petites équipes" avec un minimum de quatre buts d'écart.
But.
En l'occurence, cela devait être le six ou septième pion, sur un authentique champ de patates. Rien à voir avec le "champ de patates" ferogien dénoncé par Domenech pour excuser le score des Bleus à Thorshavn.
But.
1 à 0, donc, sur le même terrain où les mêmes Bleus avaient gagné 6 à 0 il y a deux ans, un siècle, une éternité. Déjà, à l'époque, je repensais à cette goleza contre les Chypriotes (voir "L'eau feroegineuse, oui"). Mais je radote, je radote, et d'ailleurs
But.
1 à 0 contre Mikkelsen, Bo, Tor Naes, Benjaminsen, Lokin, Samuelsen, Holst, Gregerssen, Davidsen, Olsen, Danielsen, sans oublier les remplaçants Edmundsson et Borg. Pas Borg Bjorn mais Borg Jakup a, le bientôt trentenaire du B36 Torshavn. Une pointure, ce Jakup a Borg : il a été nommé Footballeur de l'Année en Premier League en 2006 (Premier League de Faroe), a joué dans un grand club étranger (pour le Odense BK, une apparition en championnat pendant la saison 2003-2004), figure dans le top cinq des feroegiens les plus capés de tous les temps avec une soixantaine de matchs sous le maillot national, et a même planté deux buts en sélection (les deux à domicile, contre le Kazakhstan en 2003 et Malte en 2004). Excusez du peu.
But.
1 à 0. Excusez du peu.
But.
Tir en pivot d'André-Pierre Gignac, la France est toujours en vie dans la course à l'AfSud. La martingale du Martégal.
But.
Un but à la Lacombe. On souhaite au Toulousain de trouver le chemin des filets à domicile plus rapidement que son glorieux prédécesseur tricolore, qui dut attendre le crépuscule de sa carrière pour vaincre le signe indien au Parc des Princes.
But.
Contre les Roumains, par exemple. Et si APG pouvait remettre ça chez les Serbes, je promets de ne jamais lui demander d'arrêter de sucer son pouce.
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Original: "La martingale du Martégal" (20090813)
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