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20190113

En 2012, votez Messi ou Henry, pas Cantona ou Maazou (2012)

Journée historique pour Lionel Messi et Thierry Henry, hystérique pour Eric Cantona: le premier a remporté sans surprise un troisième Ballon d'Or FIFA France Football d'affilée, le second a conquis les coeurs des fans d'Arsenal qui lui échappaient encore en signant son retour par le but de la victoire en coupe contre Leeds, et le troisième a une fois de plus gagné l'occasion de se taire en lançant un appel aux signatures de maires dans la perspective des présidentielles 2012.

Cette journée consacre également:
- les championnes du monde nippones (Ballon d'Or pour Aya Miyama, Norio Sasaki meilleur entraîneur)
- le champion de la trophéïte aigüe Pep Guardiola
- le champion du futchebol Neymar pour son but de folie, Prix Ferenc Puskas
- le champion toute catégorie des tranferts foireux, Moussa Maazou (Ballon de plomb 2011)

L'année commence donc sur les chapeaux de roue... à part bien sûr au Paris Saint Germain où on attaque directement la jante avec sur le terrain un Festival de Locminé pour la première officielle de Carlo Ancelotti, et en coulisses une réponse d'anthologie de Leonardo à Maradona (le premier assumant totalement les railleries du second sur son manque total de scrupules).

On ne devrait pas s'ennuyer. 

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Original: "En 2012, votez Messi ou Henry, pas Cantona ou Maazou" (20120112)

20190111

Barca Barca Barca (2009)

Maintenant que c'est fait, je peux l'avouer : j'avais un faible pour les Catalans. Quelque part, je préfère le sourire espiègle de Messi au rictus excédé de Cristiano Ronaldo lorsqu'ils loupent un dribble, le touchant et lyrique discours de Pep Guardiola au Patois écossais de Sir Alex lorsqu'ils exposent leur tactique, la noblesse de la lutte anti-franquiste associée au maillot Blaugrana à la douleur de la lutte des classes associée à celui des Red Devils lorsque les marketeurs de ces deux multinationales essayent de vendre à de vrais supporters des pans d'histoire qui ne leur appartiennent pas. 

Bien sûr, Park Ji-sung ne sera jamais Champion du Monde, et il avait plus besoin de cette C1 dans son palmarès qu'un Thierry Henry.

Bien sûr, Eric Cantona n'a pas eu la Palme d'Or du meilleur acteur pour son auto-parodie dans "LooKing for Eric".

Bien sûr, la Ligue des Champions refuse de se donner deux années de suite au même club, histoire de faire croire aux gogos qu'elle a été fondée sur d'authentiques préoccupations sportives.

Bien sûr, on verra les mêmes têtes l'an prochain. Avec probablement le grand retour de La Maison Blanche madrilène, sur un air wengerien de chevauchée des Ribéry, ou sur un rythme plus lent, genre rasta Rafa. La Vieille Dame italienne repassera nous faire coucou et l'ACM Kaka.

Lyon reviendra peut-être en deuxième semaine. Bordeaux passera peut-être le premier tour, si Gourcuff résiste aux sirènes berlusconiennes et à une saison et demie de titularisation intensive. L'Ohème 2010 refera peut-être le coup de l'Ahèçème 2004 avec Dédé à la barre.

Mais je n'aurais pas le plaisir de voir mon cher PSG se faire étriller en préliminaires par l'APOEL Nicosie.

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Original: "Barca Barca Barca" (20090528)

20181128

Bleus, coups et blessures (2007)

Les hommes de Domenech se sont plutôt bien tirés du piège d'Oleg Blokhine, très efficace en première mi-temps mais dépassé en seconde à partir du moment où les Bleus ont enclenché la troisième, avec passes sautées au-dessus de la défense, accélérations diverses, roulette-grand pont et coup de la corde à linge.

Avant d'ouvrir le score, Franck Ribéry présentait une fiche de stats franchement médiocre, mais ses 50% de déchets devaient beaucoup aux audacieuses transversales ave maria de Toulalan (même un Jerry Rice au sommet de sa forme n'avait aucune chance d'intercepter ces missiles sol-air). Et si Nasri ne tient pas encore les 90 mn au top, personne ne lui en tient rigueur tant sa progression impressionne. Moins sollicité cette saison, Thuram rayonne au meilleur moment, tandis qu'Anelka illumine à son habitude les périodes séparant les phases finales de Coupe du Monde, cette drôle de compétition dont les videurs s'obstinent à refuser l'entrée aux José Touré et autres Eric Cantona...

Encore un coup de rein face à la Géorgie et les Bleus pourront prendre des vacances bien méritées.
En attendant et faute d'Equipe du Dimanche, je me suis rabattu sur le Festival de Toulon... ça faisait une paye - le dernier match que j'ai vu remonte sans doute aux années 80, à une époque où les grilles TV n'étaient pas saturées de foot, et où l'on découvrait les meilleurs jeunes d'Europe, les plus créatifs s'exprimant en toute liberté dans une ambiance bon enfant.

Bon enfant ? En 3 minutes 1 claquage et 2 envols de civières dont 1 pour KO... ce Chine - Pays Bas m'a collé des sueurs froides. L'Empire du Milieu a triomphé 2-1 et histoire de me calmer, j'ai confié à Stephen King le soin de m'accompagner jusque dans les bras de Morphée.

Rideau.

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Original: Bleus, coups et blessures (20070604)

Futsal, l'éternel retour (2007)

Ce dimanche après-midi consacré au 1er RTL Futsal de Bercy sur Canal+ Sport a permis de mesurer toute l'étendue de l'inculture française en matière de football en salle / futsal (et celle de Lionel Russo en matière de football tout court - grosse erreur de casting de la chaîne cryptée sur ce coup - jamais l'expression "donner de la confiture à des cochons" n'a semblé aussi adaptée... quel massacre !).

Pour avoir péniblement recensé les sites francophones dédiés au football féminin et au futsal pour le compte de l'ODP / DMOZ, je sais combien cette discipline souffre d'une absence d'exposition en France (heureusement que nos voisins belges compensent largement). Or quand le Beach Soccer bénéficie de l'aura d'Eric Cantona et d'un ensoleillement naturel pendant tout l'été, le futsal a par définition besoin d'un coup de projecteur pour être pratiqué. C'est partiellement chose faite depuis hier. A défaut de mobiliser les foules devant le petit écran, ce sport a suscité l'adhésion de ses prestigieux pratiquants d'un jour, et pas n'importe lesquels. 

La camorra Canal+ serait inspirée de rebondir sur l'événement pour promouvoir le championnat national ou a tout le moins l'équipe nationale, ce petit candidat ayant fait le meilleur usage de son maigre temps de parole. Un circuit de vieilles gloires verra probablement le jour mais il en faudra plus pour enfin faire vivre durablement ce sport : rendre les principaux clubs et la sélection nationale compétitifs au niveau international, diffuser des vraies compétitions où les Bleus ne se fassent pas systématiquement laminer par des semi-pros. Je ne demande pas un show à l'américaine façon MISL (cf histoire du pro soccer indoor et outdoor aux US), mais un feuilleton récurrent de qualité : ce sport a tout pour plaire pour les pratiquants comme pour les téléspectateurs et les diffuseurs.

J'ai pratiqué le beach soccer et le futsal : on s'amuse dans l'un comme dans l'autre mais le second s'apparente beaucoup plus au football, comme une version épurée pensée pour l'amateur de jeu : aucun temps mort, pas de place pour la violence ni pour les bourrins, tout le monde participe de façon intense à la défense comme à l'attaque, et avec une palette de coups illimitée (le sable du Beach Soccer ajoute une dimension tout aussi excitante au jeu, mais avec son lot de contraintes). La qualité du ballon joue également pour beaucoup : même sur une surface dure, vous ne jouez pas comme dans une cour d'école. Zizou a prouvé hier qu'un grand technicien du football était assuré de prendre et de donner du plaisir en jouant au futsal - ce qui est moins systématiquement le cas pour le Beach Soccer (nothing personal, Dear Eric !).

Saluons donc l'initiative de la FFF, du CIF et des défenseurs de la veuve et de l'orphelin (Aimé Jacquet pour les veuves du foot féminin, Henri Emile pour les orphelins du futsal). Encourageons également les media (RTL et Canal+) à prolonger le plaisir. Espérons que cela ne soit pas un feu de paille, comme l'éphémère Tournoi de Bercy du milieu des années 80. Car les calendriers d'aujourd'hui n'autorisent plus ces événements relevés d'intersaison : terminés les intermèdes en salle, terminés les Tournois de Paris en plein air, à l'époque où les pros pouvaient souffler et préparer correctement une reprise, sans avoir à se cogner 15 heures d'avion pour vendre des maillots en Chine ou assurer la pub du Révérend Moon.

Alors pour une fois, laissons la parole aux joueurs. Tous se sont régalés hier en partageant de bons moments, à eux de se passer le mot pour transmettre la flamme. Essayez vous aussi et vous verrez, les salles désaffectées ne tarderont pas à résonner de parties endiablées.

PS : merci aussi aux organisateurs et à Alain Cayzac pour nous avoir offert quelques sourires sur les visages des joueurs parisiens. Leur mal semble de plus en plus profond à voir leur détresse et leur nervosité hier - comme Jérôme Alonso furieux à la mi-temps mais heureux comme un gamin à la fin du match contre l'équipe de France 98, comme cette fin de match aussi, justement (joueurs tétanisés par la peur de perdre leur avantage jusque dans cette balade amicale).

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Original: Futsal, l'éternel retour (20070326)

20181126

France Football parasité par la Beeb (2007)

Un FF rouge et blanc au coeur du foot, tout le monde connait. Ces initiales, ce code couleur, ce thème, bien sûr, appartiennent à France Football.

Sauf que ce média-ci parle Anglais et porte l'étendard de la BBC. "Football Focus" débarque sur les écrans force annonces et roulements de tambours. TA-DAAA :



Pas assez sexy et trop proche de l'original ? La Beeb propose aussi une version stretch :



Canto et Wenger ne leur suffisaient pas ?

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Original: France Football parasité par la Beeb (20070130)

20171211

Zizou est mort tout seul (2006)

Ecce homo... le Dieu redescendu sur terre pour accepter sa crucifixion. Au lieu du tour d'honneur (avec ou sans la coupe), le voici enfermé dans la tour du déshonneur, à laisser Lilian Thuram verser toutes les larmes de son corps sur un terrain si anecdotique, comme le résultat du match d'ailleurs.


L'Italie fait un beau champion du monde, avec sa part d'ombre, certes (Cannavaro assommant Henry puis Zidane sans la moindre sanction, Materazzi mettant Zidane définitivement hors jeu par le seul moyen possible pour un joueur aussi limité), mais sans avoir volé sa victoire pour autant.

La France a prié pour ne pas arriver à la mi-temps menée au score - on l'espérait capable de se reconcentrer dans les vestiaires, d'analyser son mauvais début de match et d'élever son jeu. Et le miracle a eu lieu, une fois de plus : les Bleus ont contrôlé la seconde mi-temps, étouffé les Azzuri et appuyé sur l'accélérateur pour tuer le match. On a alors senti que les Italiens priaient pour ne pas arriver à la mi-temps des prolongations menés au score, on voyait déjà Fabio Cannavaro lâcher la formule magique dans un ultime souffle : "catenaccio"... Et le scénario s'est déroulé comme prévu : la Squadra Azzura a fait le dos rond pour laisser passer l'orage, ressorti les tenues de 1982 (plutôt côté Gentile que Conti), provoqué non plus balle au pied mais mots à la bouche, et tenu jusqu'aux tirs au but, nécessairement remportés par le meilleur gardien du monde.


Je ne pense pas que l'expulsion de Zidane ait changé quoi que ce soit sur l'issue du match. Sur l'issue de sa carrière, en revanche, oui. Un air de déjà vu : ce plan séquence où il tance gentillement Materazzi pour l'avoir ceinturé, le sourire aux lèvres, tourne au drame quand le regard se fait brusquement noir. Ces yeux-là on les connait et on sait sur quoi ils débouchent... Zizou n'est pas Pelé, ce champion lisse et cet inaltérable modèle de fair-play, ce Dieu du football universel devenu incolore, inodore et sans saveur depuis son retrait des terrains. Zizou est Zizou, un homme debout, qui se retourne pour s'expliquer face à face avec les gens tordus, un Cantona amoureux du beau jeu et incapable de comprendre que des gens ne cherchent pas à jouer sur un terrain de football.


Zizou le modèle est mort tout seul. Zizou l'artiste a rejoint Maradona dans la légende des géants à double face, sol y sombre. On n'efface pas le coup de karate de Canto sur un hooligan, on n'efface pas le coup de pied au ventre du Pibe de Oro à Zico, et on n'effacera certainement pas ce quatrième coup de boule de Zizou en finale de Coupe du Monde. A fortiori parce que le dernier geste de Zizou footballeur était un geste de Zizou l'homme, on n'effacera pas plus l'homme qu'on oubliera le footballeur.


On ne consolera pas Thuram, ce gamin de 10 ans venu voir le plus beau match du monde mais traumatisé par ce drôle de spectacle. On ne consolera pas Makelele, trop vieux pour gagner avec ces Bleus parce que trop jeune en équipe de France. On ne consolera pas Henry, magnifique perdant des deux principales finales de l'année.


J'avoue m'être trompé. Pas en pronostiquant, l'an dernier, une victoire de l'Italie dans cette coupe du monde mais en écrivant, hier*, "Si l'Italie gagne, c'est normal, c'est du football. Si la France gagne, on zappe carrément dans une autre dimension". C'est au contraire en perdant de cette façon que cette formidable génération de Bleus sera passée dans une autre dimension.

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Bons points : Gianluigi Buffon (ITA) et Lilian Thuram (FRA), les meilleurs joueurs de cette compétition.
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* "On vit ensemble on meurt ensemble" (20060709)


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Original: Zizou est mort tout seul (20060710)

20171205

Djibril Cassé (2006)

Le football, c'est dans les bons jours les chevilles élastiques de Ronnie et dans les mauvais les jambes à angle droit du pauvre Cissé (ou encore les cuisses de Lienen pour ceux qui ont de la mémoire).


On peut essayer de positiver en se disant que DC a déjà joué la Coupe du Monde (contrairement à un Touré ou un Cantona), qu'il n'a que 24 ans et un coeur comme ça, qu'un "banni" (Anelka ? Luyindula ?) ou un "jeunot" (Simana Pongole ? Le Tallec ? Briand ?) aura sa chance... la blessure reste terrible et inconsolable.


Et puis un blessé lors du dernier match de préparation des Bleus face à une équipe asiatique, ça éveille d'autres souvenirs...


Je demeure par ailleurs partagé sur cette équipe : Domenech assume ses choix et c'est son métier. On ne peut pas lui reprocher l'absence d'une ligne claire, mais je redoute toujours un scénario à la 1986 : le sélectionneur ne fait pas assez tourner son effectif et n'ose pas casser le noyau dur d'une génération dorée à bout de souffle, lui offre un dernier récital (l'Italie et le Brésil en 1986, l'Ukraine en 2006 ?) avant de la laisser sombrer contre un groupe plus puissant et sans merci (la RFA en 1986, l'Italie en 2006 ?). Les Bleus seraient décidément inspirés de gagner leurs deux premiers matchs pour s'offrir une tournée des coiffeurs (même orphelins de leur meilleur client, hélas).

Au-delà, je suis curieux de voir ce que donnera ce gouleyant rouge millésimé 2006 quand on le débouchera vers 2010. Contrairement à la Chine de 2002, cette cuvée a tout pour plaire techniquement, tactiquement et physiquement. Il ne reste à ce séduisant collectif qu'à laisser s'exprimer des individualités que l'on sent tétanisées à l'idée de se mettre en avant. Par moments, on aurait dit la réserve d'un grand club pro jouant un trente-deuxième de finale de Coupe de France face à des amateurs, trop tendue pour se faire plaisir sur le terrain et s'interdisant toute prise de risque de peur de griller sa chance.

Laissons donc cette Chine décanter quelques années et voyons plutôt ce que donne la mise en bouteille au château des petits gars de Clairefontaine.


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Original: Djibril Cassé (20060608)

Pepsifest, grippe à bière et marketing viral (2006)

Lourdingue à souhait, la dernière pub d'une marque bien connue de non bière brune sans alcool met en scène Henry, Ronaldinho, Roberto Carlos et David Beckham dans leurs rôles préférés (joueur, freestylist, dragueur et pot de fleur).

Dans un art consommé du recyclage, le groupe propose une version Oktoberfestive d'un tube de l'été remontant à l'ère des grands poètes teutons (Horst Hrubesch, Hans-Pieter Briegel, Pierre Littbarski*), et déploie toute la panoplie du parfait marketeur viral, sites ouèbe** et ouape à l'appui.

Voici donc le territoire du ringard-rétro occupé, peu après celui de l'anarcho-révolutionnario-Che Guevaro-cantonesque - préempté par une célèbre marque à la virgule à but non lucratif et spécialisée dans la réduction du chômage chez les moins de 5 ans.


Si la Coupe du Monde ne commence pas avant trois bons mois, les marchands du temple ont déjà investi les lieux. Il y a quatre ans, il fallait attendre les cinq cent derniers mètres avant le stade pour les voir proposer leurs objets publicitaires aux pélerins. Dans la dernière ligne droite, le service d'ordre réquisitionnait les babioles non reconnues par les sponsors officiels. Cette année, ils vont nous pourchasser jusque dans nos salles de bains.
 
 

* cherchez l'intrus - plutôt parmi les dribbleurs de juges de ligne
** mydadada.com


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Original: Pepsifest, grippe à bière et marketing viral (20060323)