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20080712

MLS - Les Seattle Sounders de retour au plus haut niveau

Comme annoncé à l'automne dernier par la MLS, le club de Sébastien LeToux (MVP de USL-1 en 2007) rejoindra l'élite à compter de la saison 2009. Un club du même nom avait fréquenté la NASL de 1974 à 1983.

Les actionnaires sont déjà dans la place : du président Joe Roth (fondateur de Revolution Studios) au patron Adrian Hanauer (ancien actionnaire majoritaire), en passant par VSE (Vulcan Sports and Entertainment - propriétaire des Seattle Seahawks et dans la galaxie Vulcan de Paul Allen) et le comédien Drew Carey. Sortir les 30 millions de dollars de droit d'entrée dans la ligue (50% de plus que les Earthquakes) n'a pas vraiment posé problème.

Le projet sportif est solide : le club a été champion USL-1 en 2005 et 2007 et vient de se qualifier pour les demi-finales de l'US Open Cup en tapant 2 clubs de MLS (les Chivas en huitièmes et les Wizards en quarts, après avoir plié le Hollywood United cher à Frank Leboeuf). Les Charleston Battery ne devraient pas les priver de finale (face à DC ou les Revs).

Le succès populaire semble acquis : le club affiche déjà 16.000 abonnés et la région constitue un intéressant bassin pour le soccer. L'Etat de Washington bénéficie d'une forte communauté internationale footballophile, et les Sounders pourront puiser dans le bassin voisin de la Colombie Britannique... à moins que la 16e franchise MLS (attendue en 2010) ne vienne s'y implanter.

Mais les derbies avec Vancouver dans l'élite ne semblent pas pour demain : les investisseurs locaux misent plutôt sur la WPS*, et la MLS ne paraît pas pressé d'accueillir le club masculin local (idem pour Montreal, également en USL - Toronto demeure le seul club Canadien de la Ligue).

L'expansion doit pourtant se poursuivre : on parle de 18 clubs d'ici 2012.

La fiche du club : Seattle Sounders FC.





* cf "WPS - C'est comme si c'était fait" (20080210)

20080201

US Open Cup - le palmarès depuis 1914

1) Avant la participation des ligues pros (1914-1994) ;

1914 Brooklyn Field Club (Brooklyn, NY)
1915 Bethlehem Steel FC (Bethlehem, PA)
1916 Bethlehem Steel FC (Bethlehem, PA)
1917 Fall River Rovers (Fall River, MA)
1918 Bethlehem Steel FC (Bethlehem, PA)
1919 Bethlehem Steel FC (Bethlehem, PA)
1920 Ben Miller FC (Saint Louis, MO)
1921 Robbins Dry Dock FC (Brooklyn, NY)
1922 Scullin Steel FC (Saint Louis, MO)
1923 Paterson FC (Paterson, NJ)
1924 Fall River FC (Fall River, MA)
1925 Shawsheen FC (Andover, MA)
1926 Bethlehem Steel FC (Bethlehem, PA)
1927 Fall River FC (Fall River, MA)
1928 New York National SC (New York, NY)
1929 Hakoa All Star SC (New York, NY)
1930 Fall River FC (Fall River, MA)
1931 Fall River FC (Fall River, MA)
1932 New Bedford FC (New Bedford, MA)
1933 Stix, Baer and Fuller FC (Saint Louis, MO)
1934 Stix, Baer and Fuller FC (Saint Louis, MO)
1935 Central Breweries FC (Saint Louis, MO)
1936 German-Americans (Philadelphia, PA)
1937 New York American FC (New York, NY)
1938 Chicago Sparta A.B.A. (Chicago, IL)
1939 Saint Mary's Celtic SC (Brooklyn, NY)
1940 (2 vainqueurs) Baltimore SC (Baltimore, MD) et Chicago Sparta A.B.A. (Chicago, IL)
1941 Pawtucket FC (Pawtucket, RI)
1942 Gallatin SC (Gallatin, PA)
1943 Brooklyn Hispano FC (Brooklyn, NY)
1944 Brooklyn Hispano FC (Brooklyn, NY)
1945 Brookhattan FC (New York, NY)
1946 Chicago Viking FC (Chicago, IL)
1947 Ponta Delgada SC (Fall River, MA)
1948 Simpkins-Ford SC (Saint Louis, MO)
1949 Morgan SC (Morgan, PA)
1950 Simpkins-Ford SC (Saint Louis, MO)
1951 German Hungarian SC (New York, NY)
1952 Harmarville SC (Harmarville, PA)
1953 Falcons SC (Chicago, IL)
1954 New York Americans (New York, NY)
1955 Eintracht Sport Club (New York, NY)
1956 Harmarville SC (Harmarville, PA)
1957 Kutis SC (Saint Louis, MO)
1958 Los Angeles Kickers (Los Angeles, CA)
1959 McIlvaine Canvasbacks (Los Angeles, CA)
1960 Ukrainian Nationals (Philadelphia, PA)
1961 Ukrainian Nationals (Philadelphia, PA)
1962 New York Hungaria (New York, NY)
1963 Ukrainian Nationals (Philadelphia, PA)
1964 Los Angeles Kickers (Los Angeles, CA)
1965 New York Ukrainians (New York, NY)
1966 Ukrainian Nationals (Philadelphia, PA)
1967 Greek American AA (New York, NY)
1968 Greek American AA (New York, NY)
1969 Greek American AA (New York, NY)
1970 Elizabeth SC (Union, NJ)
1971 Hota SC (New York, NY)
1972 Elizabeth SC (Union, NJ)
1973 Maccabee SC (Los Angeles, CA)
1974 Greek American AA (New York, NY)
1975 Maccabee SC (Los Angeles, CA)
1976 San Francisco AC (San Francisco, CA)
1977 Maccabee SC (Los Angeles, CA)
1978 Maccabee SC (Los Angeles, CA)
1979 Brooklyn Dodgers SC (Brooklyn, NY)
1980 New York Pancyprian Freedoms (New York, NY)
1981 Maccabee SC (Los Angeles, CA)
1982 New York Pancyprian Freedoms (New York, NY)
1983 New York Pancyprian Freedoms (New York, NY)
1984 A.O. Krete (New York, NY)
1985 Greek American AC (San Francisco, CA)
1986 Kutis SC (Saint Louis, MO)
1987 Club Espana (Washington, DC)
1988 Busch SC (Saint Louis, MO)
1989 H.R.C. Kickers (Saint Petersburg, FL)
1990 A.A.C. Eagles (Chicago, IL)
1991 Brooklyn Italian SC (Brooklyn, NY)
1992 San Jose Oaks (San Jose, CA)
1993 C.D. Mexico (San Francisco, CA)
1994 Greek American AC (San Francisco, CA)

2) Depuis la participation des ligues pros (depuis 1995) - Lamar Hunt US Open Cup :

A partir de 1995, les clubs de USL et MLS participent. La ligue d'origine des clubs non membres de la MLS parvenus en finale est précisée le cas échéant.

1995 Richmond Kickers (PDL) b. El Paso Patriots (Pro League) 1-1 a.p. (4-2 p)
1996 DC United b. Rochester Raging Rhinos (A-League) 3-0
1997 Dallas Burn b. DC United 0-0 a.p. (5-3 p)
1998 Chicago Fire b. Columbus Crew 2-1 a.p.
1999 Rochester Raging Rhinos (A-League) b. Colorado Rapids 2-0
2000 Chicago Fire b. Miami Fusion 2-1
2001 Los Angeles Galaxy b New England Revolution 2-1 a.p.
2002 Columbus Crew b. Los Angeles Galaxy 1-0
2003 Chicago Fire b. NY/NJ MetroStars 1-0
2004 Kansas City Wizards b. Chicago Fire 1-0 a.p.
2005 Los Angeles Galaxy b. FC Dallas 1-0
2006 Chicago Fire b. Los Angeles Galaxy 3-1
2007 New England Revolution b. FC Dallas 3-2
2008 DC United b. Charleston Battery (USL-1) 2-1
2009 Seattle Sounders FC b. DC United 2-1
2010 Seattle Sounders FC b. Columbus Crew 2-1



MLS - une brève histoire des ligues majeures (jusqu'en 2004)

L'ECHEC DE LA NASL ET L'OPPORTUNITE WORLD CUP '94

Le sport-business n'est pas un phénomène récent aux Etats-Unis (Spalding l'avait initié dès le début du XXe siècle) mais à la fin des années 60, il connait une nouvelle montée en régime.

C'est au moment ou les positions se prennent dans les media que le soccer doit percer, d'autant que la victoire anglaise en Coupe du Monde connait un fort retentissement en Nouvelle Angleterre. Deux ligues concurrentes se montent en 1967 : la United Soccer Association a le blanc-seing de la FIFA mais c'est la NPSL (North Professional Soccer League) qui obtient le contrat avec CBS, l'un des principaux networks US. Seulement l'audience s'avère misérable, et les deux ligues fusionnent dès 1968 pour donner naissance à la NASL (North American Soccer League). Soutenue par des investisseurs motivés comme Lamar Hunt et des parrains prestigieux comme Kissinger, la NASL attire des noms de rêve comme Pelé, Franz Beckenbauer, Johan Cruyff, Gerd Muller, George Best, Eusebio ou Bobby Moore. Impossible d'echouer dans ces conditions.

La NASL décide de recycler les recettes éprouvées des ligues majeures nord-américaines : du spectacle, des cheerleaders et un système de "franchises" où les clubs sont avant tout des entreprises susceptibles de démenager du jour au lendemain vers une autre ville. Le risque sportif est réduit au minimum : ni relégation, ni montée, la ligue est toujours constituée des mêmes clubs quels que soient leurs résultats, le nombre évoluant au fil d'éventuelles "expansions" ou faillites, mais en fonction de critères financiers et non sportifs. Les plus grandes stars du sport sont généreusement invitées au crepuscule de leur carriere pour évangeliser une ligue dont le New York Cosmos s'impose comme le fleuron et le symbole de la démesure.

Si la sauce ne prend pas, c'est parce que ces extra-terrestres ne débarquent pas vraiment en terrain conquis. La base de pratiquants demeure circonscrite à quelques minorités et les télévisions ne peuvent se permettre de proposer en prime time un sport exotique pas du tout formaté pour leurs besoins : deux longues séquences de 45 minutes sans temps mort, un veritable cauchemar pour les publicitaires.

Pour animer la saison creuse d'hiver, la NASL a créé un championnat en salle qui en revanche a prouvé la viabilité de son modèle économique. Après la faillite de la NASL en 1984, la Major Indoor Soccer League (MISL) prend le relais avant d'être rebaptisée Major Soccer League (MSL) puis d'imploser en deux ligues concurrentes en 1992. L'indoor assurera donc peu ou prou le spectacle et la permanence du soccer entre la NASL et la World Cup. Car si la faillite de la NASL a découragé les plus gros investisseurs, les apôtres du soccer n'ont jamais désespéré et ont décroché l'organisation de la Coupe du Monde 1994. La FIFA de Joao Havelange accorde volontiers aux USA une seconde chance : réussir sur le premier marche de l'Olympisme signifierait une victoire finale sur son seul rival, le CIO de Juan Antonio Samaranch.

Pas question de mettre dès le depart autant de moyens que pour la premiere fois, et l'on se contentera si nécessaire de chaines cablées pour la diffusion - elles ont suffisamment pris d'importance depuis les seventies et pour Time Warner, un succes du soccer pourrait même faciliter l'implantation en Europe de sa marque ESPN. Ce coup-ci, l'idée est d'éviter de mettre la charrue avant les boeufs : la nouvelle ligue (Major League Soccer ou MLS) sera lancée après la Coupe du Monde et portée par son succes, et les meilleurs joueurs seront mobilisés par la sélection qui constituera leur club pendant la période de transition. Au coeur du projet, Alan I. Rothenberg dirige à la fois la World Cup et la future MLS.

Mais de facon assez symbolique la Coupe du Monde débute par le rocambolesque épisode de la fuite d'OJ Simpson en plein match d'ouverture et se termine sur la première finale sans but de son histoire. Ce n'est pas à proprement parler un échec, mais certainement pas le triomphe esperé, en dépit d'un taux satisfaisant de remplissage des stades. Surtout, la MLS a pris du retard et ne commencera que pour la saison 1996 avec des ambitions tres raisonnables. L'heure est au développement durable.

LA MLS : UNE LIGUE A L'AMERICAINE, MAIS PAS ENCORE MAJEURE

A l'instar des autres ligues majeures, la MLS comprend une saison régulière suivie de play-offs avec un "all star game" pour animer la mi-saison et un "big match" pour la couronner, ici sobrement baptise "MLS Cup". Le découpage du plateau en "conférences" (Est et Ouest) ne s'explique pas que par des motifs geographiques : un championnat plus classique met hors jeu plus vite les petites équipes et on optimise ainsi le nombre d'équipes concernées par la seconde phase tout au long du championnat.

En revanche et comme dans le schéma "européen", une "US Open Cup" existe en parallèle au championnat. Les equipes de la MLS ne sont pas les seules à concourir : cette compétition organisée par la fédération américaine US Soccer depuis 1914 (donc avant même la Coupe de France) accepte également les membres de la A-League. On notera que l'US Open Cup a accollé à son nom celui de Lamar Hunt en 1999. Ce grand promoteur du soccer et du sport en général (rendu célèbre par la NFL mais membre des Hall Of Fame du tennis et du soccer) fut propriétaire du Dallas Tornado (NASL) avant de créer deux franchises MLS (Kansas City Wizards et Columbus Crew) et d'en acheter une troisième (le Dallas Burn, désormais le FC Dallas).

La saison régulière se joue d'avril à octobre, les demi-finales de conférence fin octobre, les finales de conférence début novembre et la grande finale à la mi-novembre. Le calendrier de la MLS concurrence donc celui de la MLB mais attend les World Series (octobre) pour diffuser sa MLS Cup. Il permet également d'utiliser des stades inoccupés pendant ces saisons : ceux du foot US, la NFL se jouant en hiver.

La MLS parvient même à titiller la MLB au niveau des statistiques suivies chaque saison avec leurs lots de totaux, pourcentages, moyennes et séries. Petit florilège : meilleur buteur (avec classement spécifique pour les buts vainqueurs), meilleur passeur (un classement pour les passes décisives ou "primaires", un autre pour les avant-dernières passes, un troisième pour les passes décisives sur buts vainqueurs), meilleur marqueur (points = buts + passes décisives), meilleure moyenne de buts / passes / points par match, nombre / moyenne / pourcentage de tirs, tirs cadrés, nombre de fautes commises et subies, nombre de hors-jeux, d'avertissements, d'expulsions, de corners tirés, et pour les gardiens nombre, moyenne et pourcentage d'arrêts, nombre de matches sans but encaissé...Statistique révélatrice s'il en est, le nombre de spectateurs dans les stades ne décolle pas vraiment, sans qu'un club ne se distingue dans un sens (Los Angeles Galaxy avec plus de 23.000 spectateurs de moyenne) ou dans l'autre (Dallas avec un peu moins de 10.000) :

. 1996 : 2.785.001 spectateurs (moyenne 17.406)
. 1997 : 2.339.019 (14.619)
. 1998 : 2.747.897 (14.312)
. 1999 : 2.742.102 (14.282)
. 2000 : 2.641.085 (13.756)
. 2001 : 2.363.859 (14.961)
. 2002 : 2.215.019 (15.822)
. 2003 : 2.234.747 (14.898)
. 2004 : 2.333.797 (15.559)

Malgré les éclats de rares stars comme Carlos Valderrama, la MLS vivote ainsi depuis une dizaine de saisons sans vraiment briller. Mais à la difference de la WUSA, elle survit : la Women's United Soccer Association, le championnat pro féminin (voir article), a en effet implosé en 2004 à la retraîte de la génération dorée des Mia Hamm, Julie Foudy ou Joy Fawcett, précipitant le retour de Marinette Pichon en France.

Le Champion du Monde Youri Djorkaeff fait le chemin inverse en débarquant aux MetroStars pour la saison 2005 d'une MLS qui semble suivre une bonne tendance:

  • la MLS retrouve une phase d'expansion : 10 equipes en 1996, 12 en 1998 (arrivée de Chicago Fire et de Miami Fusion), redescente a 10 en 2001 (disparition du Miami Fusion et de Tampa Bay Mutiny) mais remontée a 12 en 2005 avec deux développements significatifs : un deuxième club à Los Angeles, gage de derbies enflammés et preuve que les fondations ont pris, et surtout une percée inedite à Salt Lake City, avec un stade idéalement positionné pour rayonner au-dela de l'Utah vers le Colorado, l'Idaho, le Montana, le Nevada et le Wyoming.
  • autre signe encourageant, les clubs commencent à se doter de leurs propres stades, réservés au soccer. Lamar Hunt a montré le chemin avec les stades de Columbus en 1999 et de Dallas en 2005, les Chicago Fire auront le leur en 2006 (les MetroStars en attendent également un) et L.A. dispose depuis 2004 d'un stade conçu pour l'équipe nationale et deux clubs MLS, le Los Angeles Galaxy et le CD Chivas USA.

CE DONT LA MLS A BESOIN POUR TRANSFORMER L'ESSAI

  • poursuivre une croissance en profondeur, saine mais avec quelques coups d'éclat, pour pérenniser les spectateurs et téléspectateurs
  • l'arrivée à maturite de la "génération soccer-mom" : de jeunes joueurs devenant prescripteurs pour attirer les familles aux stades, puis pour les meilleurs des locomotives pour la MLS et l'équipe nationale masculine, dont le niveau n'est pas digne d'un pays de 300 millions d'habitants ou le sport est roi
  • la poursuite de l'expansion de la ligue, de préférence dans des villes importantes sans autre sport majeur. L'exemple de Lamar Hunt à Columbus semble excellent. La MLS doit comme à Salt Lake City surfer sur les évolutions démographiques des Etats-Unis.
  • l'arrivée de nouveaux meneurs et dirigeants. Une nouvelle génération d'anciens joueurs s'investit derrière l'Allemand Jurgen Klinsmann, et les Etats-Unis doivent également convaincre de grands techniciens (Matthaus a échoué mais est-il seulement un bon entraîneur ?)
  • sur un plan plus négatif, la MLS pourrait tirer profit du malheur des autres, comme un hypothétique affaiblissement de la MLB (ex grêves, dopage), voire des championnats sud-américains
  • enfin, la qualité doit se renforcer au niveau sportif pour attirer de grands noms du foot plus tôt. Les structures ne permettent pas encore de miser à fond sur la formation et d'attirer les meilleurs jeunes sportifs americains vers le soccer, mais la MLS peut envisager un positionnement intermédiaire entre les deux grands continents du foot (Europe, AmSud) avant l'explosion du prochain (Asie).

Copyright Stephane MOT 2004-2005

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