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20190112

Pep v. The Special One - Chocs et Classiques

Barca-Real ? Par définition, le sommet de la Liga. Ajoutez pour cette édition un contexte euphorique (la sélection sur le toît de l'Europe et du monde) et quelques duels d'anthologie (Messi-CR7, Guardiola-Mourinho), sans oublier bien sûr le Ballon d'Or 2010 (probablement sur le terrain et pourquoi pas sous les traits du premier nommé)... voilà de quoi mettre en appétit tous les amateurs de football, et renvoyer au vestiaire les sempiternels relents de Guerre d'Espagne.
Si la Ligue des Champions nous offre désormais de façon quasi aussi récurente des sommets entre les habituels géants européens, ces affiches ne peuvent jamais avoir la même saveur qu'un bon clasico des familles. Au niveau européen, on a plutôt l'impression de voir des marques s'affronter, des franchises.
Il s'agit pourtant des mêmes clubs. Mais Barca-Real en Liga ou Arsenal-Tottenham en Premier League, ça relève de l'intemporel.

C'est la différence entre un choc et un classique : le choc est un objet médiatique d'apparence sportive, le classique un événement culturel à objet sportif. 

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Original: "Pep v. The Special One - Chocs et Classiques" (20101128)

Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence (2009)

Le suspense pour cette édition 2009 portait sur d'une part sur la seconde et la troisième place du podium, et d'autre part sur l'ampleur de l'avance de Lionel Messi sur ses poursuivants.
Avec 240 points d'avance, Leo bat un record, même s'il ne permet pas de remonter bien loin : le nombre de jurés a explosé depuis la mondialisation du BO.

La seconde place de Cristiano Ronaldo, avec une nette avance là aussi, s'explique peut-être aussi par la diversité des jurés. La logique donnait la paire Xavi-Iniesta favorite, forte de l'exceptionnel triplé catalan. Grâce au transfert d'Ibrahimovic, le Barca place d'ailleurs 5 joueurs dans les 7 premiers.

Comme prévu, Giggs fait une ultime pige très honorable, et Rooney se place en embuscade pour la suite. Moins exposé, Cesc Fabregas se maintient à distance. Nouvelle déception pour Karim Benzema, seul nominé à se retrouver capot. Quant à Gourcuff, il grapille les quelques points qu'il était en mesure d'espérer après sa vraie première année pleine sous les projecteurs.

Au final, une fois de plus, beaucoup de talent et de joueurs de rupture.

footlog 2009

1. Lionel Messi (ARG, FC Barcelone) : 473 points
2. Cristiano Ronaldo (POR, Manchester United / Real Madrid) : 233 pts
3. Xavi (ESP, FC Barcelone) : 170 pts
4. Andrès Iniesta (ESP, FC Barcelone) : 149 pts
5. Samuel Eto'o (CMR, FC Barcelone / Inter Milan) : 75 pts
6. Kaka (BRA, Milan AC / Real Madrid) : 58 pts
7. Zlatan Ibrahimovic (SVE, Inter Milan / FC Barcelone) : 50 pts
8. Wayne Rooney (ENG, Manchester United): 35 pts
9. Didier Drogba (CIV, Chelsea): 33 pts
10. Steven Gerrard (ENG, Liverpool) : 32 pts
11. Fernando Torres (ESP, Liverpool): 22 pts
12. Cesc Fabregas (ESP, Arsenal) : 13 pts
13. Edin Dzeko (BIH, Wolfsburg) : 12 pts
14. Ryan Giggs (WAL, Manchester United) : 11 pts
15. Thierry Henry (FRA, FC Barcelone) : 9 pts
16. Luis Fabiano (BRA, FC Séville)
     Nemanja Vidic (SRB, Manchester United)
     Iker Casillas (ESP, Real Madrid): 8 pts
19. Diego Forlan (URU, Atletico Madrid) : 7 pts
20. Yoann Gourcuff (FRA, Bordeaux) : 6 pts
21. Andreï Archavine (RUS, Arsenal)
     Julio Cesar (BRA, Inter Milan)
     Frank Lampard (ENG, Chelsea) : 5 pts
24. Maicon (BRA, Inter Milan) : 4 pts
25. Diego (BRA, Werder Brême / Juventus Turin) : 3 pts
26. David Villa (ESP, Valence)
     John Terry (ENG, Chelsea) : 2 pts
28. Franck Ribéry (FRA, Bayern Munich)
     Yaya Touré (CIV, FC Barcelone) : 1 pt
30. Karim Benzema (FRA, Lyon / Real Madrid): 0 pt


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Original: "Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence" (20091201)

20190111

Ballon d'Or 2009 (2009)

France Football a livré sa liste des 29 nominés pour la course à la seconde place derrière Lionel Messi, incontournable Ballon d'Or 2009. Une livrée assez classique sur l'axe Europe - AmSud, avec trois Africains pour renforcer la légitimité mondiale, mais aucun Asiatique à se mettre sous la dent*. 

Cristiano Ronaldo abandonnera donc son trophée acquis l'an dernier, voire le podium sur lequel j'aimerais bien voir s'installer un Fabregas, un Xavi, un Iniesta ou un Eto'o. Rooney risque de devoir patienter un peu, et j'attends de voir comment il rosit sous le soleil sud-africain (Linecker s'était plutôt pas mal extrait de la fournaise mexicaine il y a - bon sang déjà - près d'un quart de siècle).

En fait, il y a du talent et de la jeunesse à revendre dans cette liste, avec une bonne demi-douzaine de joueurs susceptibles de brandir le titre individuel suprême dans les années à venir. On surveillera les premiers points grapillés par certains, et les dernières miettes collectées par de plus anciens. Pour Giggs, c'est vraisemblablement la dernière chance. Pour Henry, tout dépendra probablement du résultat du barrage contre l'Irlande en novembre prochain : l'édition 2010 sera réservée aux participants à la grande fête du football, avec une prime aux vainqueurs sur les meilleurs joueurs (pas toujours le même casting).

footlog 2009

ADDENDUM 200912 : "Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence"

* Les 29+1:
Andreï Archavine (Russie, Arsenal)
Karim Benzema (France, Lyon puis Real Madrid)
Iker Casillas (Espagne, Real Madrid)
Cristiano Ronaldo (Portugal, Manchester United puis Real Madrid)
Diego (Brésil, Werder Brême puis Juventus Turin)
Didier Drogba (Côte d'Ivoire, Chelsea)
Edin Dzeko (Bosnie, Wolfsburg)
Samuel Eto'o (Cameroun, FC Barcelone puis Inter Milan)
Cesc Fabregas (Espagne, Arsenal)
Fernando Torres (Espagne, Liverpool)
Diego Forlan (Uruguay, Atletico Madrid)
Steven Gerrard (Angleterre, Liverpool)
Ryan Giggs (Pays de Galles, Manchester United)
Yoann Gourcuff (France, Bordeaux)
Thierry Henry (France, FC Barcelone)
Zlatan Ibrahimovic (Suède, Inter Milan puis FC Barcelone)
Iniesta (Espagne, FC Barcelone)
Julio Cesar (Brésil, Inter Milan)
Kakà (Brésil, Milan AC puis Real Madrid)
Frank Lampard (Angleterre, Chelsea)
Maicon (Brésil, Inter Milan)
Lionel Messi (Argentine, FC Barcelone)
Luis Fabiano (Brésil, FC Séville)
Franck Ribéry (France, Bayern Munich)
Wayne Rooney (Angleterre, Manchester United)
John Terry (Angleterre, Chelsea)
Nemanja Vidic (Serbie, Manchester United)
David Villa (Espagne, Valence)
Xavi (Espagne, FC Barcelone)
Yaya Touré (Côte d'Ivoire, FC Barcelone)


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Original: "Ballon d'Or 2009" (20091020)

No Pasaran (2009)

Après avoir signé Kaka pour  € 65 millions et Cristiano Ronaldo pour 94 millions*, l'insatiable Fiorentino Perez a formulé une offre a 100 millions, mais j'ai refusé. 

¡No Pasarán!

Pourtant, 100 millions d'euros contre 2 millions de maillots du Real floqués à mon nom... la proposition était tentante... mais je resterai fidèle au club de mon (pace-ma)coeur.

L'amour du maillot doit toujours compter plus que l'argent, et le club plus que le maillot. D'ailleurs entre Paris et moi, les histoires de maillot n'ont jamais été une question d'euros : c'est contre quelques francs que j'ai acquis la tenue officielle en 1982 et 1993.

Pas tout jeune, je sais. Comme l'ami Grégory Coupet, attendu à l'hospice de la Porte d'Auteuil à la place du toujours poupin Mickaël Landreau... Mais la saison prochaine s'annonce passionnante : j'ai hâte de savoir si les Parisiens parviendront à terminer la saison 2009-2010 devant ou derrière Boulogne-sur-Mer.
Pour être honnête, j'ai aussi hâte de voir comment Sir Alex fluidifiera encore le jeu de ManU sans sa charismatique perle portugaise. L'après-Ronaldo risque d'être aussi brillant que l'après-Beckham.

Et j'ai hâte de voir Manuel Pellegrini à l'oeuvre à Madrid. Sans son Villareal mais peut-être avec David Villa au Real.

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* 80 millions de livres : "The beginning of the end to Cristiano Ronaldo's glorious United career came on 11 June 2009, when the Reds announced they had accepted a world-record offer of £80million from Real Madrid" (communiqué sur le site de Manchester United).

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Original: "No Pasaran" (20090612)

Barca Barca Barca (2009)

Maintenant que c'est fait, je peux l'avouer : j'avais un faible pour les Catalans. Quelque part, je préfère le sourire espiègle de Messi au rictus excédé de Cristiano Ronaldo lorsqu'ils loupent un dribble, le touchant et lyrique discours de Pep Guardiola au Patois écossais de Sir Alex lorsqu'ils exposent leur tactique, la noblesse de la lutte anti-franquiste associée au maillot Blaugrana à la douleur de la lutte des classes associée à celui des Red Devils lorsque les marketeurs de ces deux multinationales essayent de vendre à de vrais supporters des pans d'histoire qui ne leur appartiennent pas. 

Bien sûr, Park Ji-sung ne sera jamais Champion du Monde, et il avait plus besoin de cette C1 dans son palmarès qu'un Thierry Henry.

Bien sûr, Eric Cantona n'a pas eu la Palme d'Or du meilleur acteur pour son auto-parodie dans "LooKing for Eric".

Bien sûr, la Ligue des Champions refuse de se donner deux années de suite au même club, histoire de faire croire aux gogos qu'elle a été fondée sur d'authentiques préoccupations sportives.

Bien sûr, on verra les mêmes têtes l'an prochain. Avec probablement le grand retour de La Maison Blanche madrilène, sur un air wengerien de chevauchée des Ribéry, ou sur un rythme plus lent, genre rasta Rafa. La Vieille Dame italienne repassera nous faire coucou et l'ACM Kaka.

Lyon reviendra peut-être en deuxième semaine. Bordeaux passera peut-être le premier tour, si Gourcuff résiste aux sirènes berlusconiennes et à une saison et demie de titularisation intensive. L'Ohème 2010 refera peut-être le coup de l'Ahèçème 2004 avec Dédé à la barre.

Mais je n'aurais pas le plaisir de voir mon cher PSG se faire étriller en préliminaires par l'APOEL Nicosie.

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Original: "Barca Barca Barca" (20090528)

Cristiano Ronaldo Ballon d'Or (2008)

Le quinté 2008 vient d'être publié : Cristiano Ronaldo - Messi - Torres - Casillas - Xavi

Beaucoup plus logique que mon Cristiano Ronaldo - Messi - Villa - Casillas - Ribéry... mais sur le fond, je ne renie pas ce que j'avais écrit :

"Les deux seules vraies questions portent sur :
  • l'ordre de sortie de Messi et Ronaldo - avantage au premier en valeur pure, mais le second semble archifavori au regard de sa saison exceptionnelle et constante.
  • le nom de l'Espagnol qui les accompagnera sur le podium : il serait dommage que les jurés favorisent Torres ou même Villa, Fabregas ou Casillas me semblant fondamentalement plus doués. On aura sans doute droit à deux ou trois Ibères dans le top 5."
Sur le reste du classement, je retiendrais l'excellent score de Marcos Senna (11e, mais 7e non-Espagnol) à un poste ingrat, et le zéro pointé de Karim Benzema, ultime hommage à l'Euro 2008 de Bleus à peine sauvés par leur champion allemand Ribéry (16e avec 7 points).

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Original: "Cristiano Ronaldo Ballon d'Or" (20081202)

Ballon d'Or 2008 - les 30 nominés (2008)

FF a livré sa liste de nominés réduite à 30 happy few (cf ci-dessous). Une saine initiative pour améliorer la sélectivité de l'exercice - la rédaction doit être soulagée de ne plus avoir à se creuser la tête au petit jeu des nominations politiquement correctes (un Irakien, vite, quelqu'un a-t-il un Irakien sous le coude pour faire le cinquantième ?). 

Les deux seules vraies questions portent sur :
  • l'ordre de sortie de Messi et Ronaldo - avantage au premier en valeur pure, mais le second semble archifavori au regard de sa saison exceptionnelle et constante.
  • le nom de l'Espagnol qui les accompagnera sur le podium : il serait dommage que les jurés favorisent Torres ou même Villa, Fabregas ou Casillas me semblant fondamentalement plus doués. On aura sans doute droit à deux ou trois Ibères dans le top 5.

Au rayon tricolore, je vois mal Benzema passer devant Ribéry après son Euro 2008 totalement loupé (merci Raymond). Un Bleu dans le top 10 (voire mieux si les Russes entrent en hibernation, si l'Allemagne accorde 5 points à l'ancien Marseillais, et si celui-ci sort un mois de folie) constituerait une belle consolation pour un pays végétant dans le ventre mou de l'Europe*. Que dire du Brésil...
Bon. Je me lance : Ronaldo - Messi - Villa - Casillas - Ribéry

Allemagne : Michael Ballack (Chelsea)
Angleterre : Steven Gerrard (Liverpool FC), Frank Lampard (Chelsea), Wayne Rooney (Manchester United)
Argentine : Sergio Agüero (Atletico Madrid), Lionel Messi (FC Barcelone)
Brésil : Kakà (Milan AC)
Cameroun : Samuel Eto'o (FC Barcelone)
Côte d'Ivoire : Didier Drogba (Chelsea)
Espagne : Iker Casillas (Real Madrid), Cesc Fabregas (Arsenal), Sergio Ramos (Real Madrid), Marcos Senna (Villarreal), Fernando Torres (Liverpool FC), David Villa (Valence CF), Xavi (FC Barcelone)
France : Karim Benzema (Lyon), Franck Ribéry (Bayern Munich)
Italie : Gianluigi Buffon (Juventus Turin), Luca Toni (Bayern Munich)
Pays-Bas : Edwin van der Sar (Manchester United), Rafael van der Vaart (Hambourg SV puis Real Madrid), Ruud van Nistelrooy (Real Madrid)
Portugal : Cristiano Ronaldo (Manchester United), Pepe (Real Madrid)
Russie : Andreï Archavine (Zénith Saint-Pétersbourg), Youri Zhirkov (CSKA Moscou)
Serbie : Nemanja Vidic (Manchester United)
Suède : Zlatan Ibrahimovic (Inter Milan)
Togo : Emmanuel Adebayor (Arsenal)


* non Michel, je ne fais pas allusion à tes abdos de patron de l'UEFA

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Original: "" (20081020)

20181128

Ballon d'Or 2007 - les nominés (2007)

Vous le savez depuis le 26 décembre 2006*, Kaka a remporté le Ballon d'Or 2007. La question est de savoir comment se composera le podium.

Le tenant du titre Cannavaro étant comme prévu dans les choux pour cette édition, l'Italie pousse la candidature de Pirlo, nettement moins polémique que le vainqueur 2006. Sorti de l'adolescence rebelle après une Coupe du Monde narcissique, Cristiano Ronaldo compte profiter de la nouvelle blessure d'Eto'o, des états d'âme de Didier Drogba et de la longue indisponibilité de Thierry Henry (Kanouté souffrant de façon chronique d'une sous-exposition injuste en club comme en sélection). Autre favori pour le podium, Lionel Messi n'a aucun trophée conséquent à apporter en gage, si ce n'est un but maradonien, un départ canon pour 2007-2008, et un avenir de toute façon doré. Un trio Kaka-Messi-Cristiano Ronaldo ou Kaka-Cristiano Ronaldo-Messi ?

Je surveillerai avec attention les progrès de la bande à Arsène et du petit Fabregas, à nouveau étincelant hier en Champion's League. La nouvelle génération devrait confirmer ses progrès, comme cet autre fleuron offensif de la péninsule, le flamboyant Torres.

Concernant la mondialisation du BO, FF peut remercier Mr Posh d'avoir rejoint la MLS et l'Irak d'avoir gagné le titre continental en Asie. Younes Mahmoud n'entre pas plus dans le top 50 objectif que Nakamura mais tous deux contribuent à la caution globale du BO V3.0.

Quant aux agents de Ceni et Ochoa, ils peuvent remettre quelques ramettes de papier dans leur vieux fax à jet d'encre : ils pourront bientôt s'acheter des outils plus performants.

LES CINQUANTE :

Allemagne : Miroslav Klose (Bayern Munich)
Angleterre : David Beckham (Real Madrid & Los Angeles Galaxy), Steven Gerrard (Liverpool), Wayne Rooney (Manchester United), Paul Scholes (Manchester United)
Argentine : Lionel Andres Messi (FC Barcelone), Juan Roman Riquelme (Boca Juniors & Villarreal), Carlos Tevez (West Ham & Manchester United)
Brésil : Daniel Alves (FC Séville), Rogerio Ceni (Sao Paulo), Diego (Werder Brême), Kakà (Milan AC), Robinho (Real Madrid), Ronaldinho (FC Barcelone)
Bulgarie : Dimitar Berbatov (Tottenham)
Cameroun : Samuel Eto’o (FC Barcelone)
Côte d’Ivoire : Didier Drogba (Chelsea), Kolo Touré (Arsenal)
Espagne : Iker Casillas (Real Madrid), Francesc Fabregas (Arsenal), Raul (Real Madrid), José Fernando Torres (Atletico Madrid & Liverpool), David Villa (Valence CF)
France : Eric Abidal (Lyon & FC Barcelone), Thierry Henry (Arsenal & FC Barcelone), Florent Malouda (Lyon & Chelsea), Franck Ribéry (Marseille & Bayern Munich)
Ghana : Michael Essien (Chelsea)
Irak : Younis Mahmoud (Algharafa)
Italie : Gianluigi Buffon (Juventus Turin), Fabio Cannavaro (Real Madrid), Gennaro Gattuso (Milan AC), Filippo Inzaghi (Milan AC), Paolo Maldini (Milan AC), Andrea Pirlo (Milan AC), Luca Toni (Fiorentina & Bayern Munich), Francesco Totti (AS Roma)
Japon : Shunsuke Nakamura (Celtic Glasgow)
République Tchèque : Petr Cech (Chelsea)
Mali : Mahamadou Diarra (Real Madrid), Frédéric Kanouté (FC Séville)
Pays Bas : Clarence Seedorf (Milan AC), Ruud van Nistelrooy (Real Madrid), Robin van Persie (Arsenal)
Pays de Galles : Ryan Giggs (Manchester United)
Portugal : Cristiano Ronaldo (Manchester United), Deco (FC Barcelone), Ricardo Quaresma (FC Porto)
Suède : Zlatan Ibrahimovic (Inter Milan)
Mexique : Guillermo Ochoa (America Mexico)


* "Exclusif - les palmarès 2007" (20061226)

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Original: Ballon d'Or 2007 - les nominés (20071024)

Manchester - Roma : Jeu, Sept et Match (2007)

Je préfère le Giggs passeur au Giggs truqueur, le Cristiano Ronaldo trottant pour son équipe au Cristiano Ronaldo tricotant pour sa pomme, le public d'Old Trafford debout pour saluer la démonstration de Manchester aux pseudo-supporters de Manchester debout pour semer la haîne à travers l'Europe. Je préfère la Coupe d'Europe des Champions à la Ligue des Champions*, les éliminations directes aux poules aux oeufs d'or, le jeu champagne d'hier** aux parties d'échec d'antan...

Car le foot n'est pas un jeu d'échecs. De la stratégie et de la tactique, il y en a aussi, mais toutes les pièces se déplacent en permanence et c'est sans doute cela qui fascine Gari Kasparov dans ce sport. Le maître y retrouve l'esprit du jeu, son essence pure, une stimulation qu'il ne trouve que partiellement dans une partie de blitz ou ces séances collectives où il mène des dizaines de duels en parallèle... des moments certes intenses, mais fondamentalement des plaisirs solitaires.

Abramovitch, lui aussi, s'affiche Russe et amateur de football. Mais lui n'aime pas l'échec. Il raisonne de façon figée, se contente de placer ses pions et ses billes, s'achète des tours de Babel en défense, des chevaux pur sang en attaque... mais a de plus en plus de mal à supporter les diagonales de son fou d'entraîneur.

Question pour un champion : José Mourinho, déjà assuré de revenir en prochaine semaine, peut-il durer aussi longtemps que Sir Alex Ferguson sur son banc ?


* même si hier ni MU, ni la Roma, ni Valence ne participaient en qualité de champions nationaux, tous ont produit un jeu de champions dans cette compétition.
** même si Ayala a un peu trop souvent levé le coude face à Drogba... heureusement que Canizares a élevé le débat.

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Original: Manchester - Roma : Jeu, Sept et Match (20070411)

20180207

Face à Pauleta (20061115)

Décidément, FF sait recevoir. Non content d'héberger gratuitement ces misérables blogules, mon hebdo favori m'a invité à rencontrer Pedro Miguel Carreiro Resendes en son jardin (vaste pelouse de 2 hectares, pas de fleurs mais 46.000 sièges multicolores du plus bel effet, et le tout à un jet de fumigène de la Porte d'Auteuil).



Autour d'un bon déjeuner sur les terres d'Alain Cayzac (qui nous gratifia d'un coucou amical), les amateurs de beau jeu conviés à ce Face aux Lecteurs de France Football ont à tour de rôle confessé un penchant commun pour le club de la capitale. Résultat de cette réunion style Alcooliques Anonymes : le club peut s'en sortir s'il persiste dans sa voie actuelle. La seule. La vraie. L'éternelle.

Pauleta, lui, est incurable.

Il ne peut pas se passer du but. Et il ne peut pas se passer d'être un type bien.

Si vous en doutez encore, consultez la Bible de mardi prochain.



PS : deux avants-centre se cachent sur cette image (votre serviteur derrière son appareil photo). J'en profite pour demander à Bernard Pivot comment s'écrit le pluriel d'"avant-centre"... Une chose est sûre : pendant la Coupe du Monde, Pedro n'a reçu qu'un seul centre. De la part de Figo à la 3e minute de Portugal-Angola*. En revanche, Christiano Ronaldo n'aura eu de cesse de se mettre en avant devant les caméras.

* cf "Non persevare diabolicum" (20060612)

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Original: Face à Pauleta (20061115)

20171211

On vit ensemble on meurt ensemble (2006)

De deux choses l'une : ce soir, soit Saint Zizou et ses disciples accèdent à la vie éternelle, soit l'Equipe de France part bouffer les Materazzi par la racine dès septembre prochain. Marcello Lippi connait son Zinedine comme la paume de sa main mais le petit Yazid n'a décidément pas une ligne de vie comme les autres alors qui sait... espérons que la France suive sa bonne étoile, la deuxième*.

Au moins, le scénario de cet Allemagne-Portugal était écrit à l'avance : le Portugal contrôle la balle, l'Allemagne contre et marque. Les boulettes de Ricardo et Petit offrent à Klinsi une ultime fête avant qu'il parte évangéliser le Nouveau Monde : si Beckenbauer ne pense qu'à gagner, Klinsmann a toujours suivi sa soif de découverte et je le verrais bien plonger dans le sillage d'Arena...


A propos de plongeons... Cristiano Ronaldo n'a pas été élu meilleur jeune de la compétition pour une question de fair-play. Pourquoi pas ? Figo a bien reçu le Ballon d'Or 2000 de Zidane en cadeau pour des raisons similaires... mais si c'est pour le donner à Podolski pardon, vous pouviez au moins choisir un joueur meilleur sur le plan du jeu comme du fair play. Lahm, par exemple, si vous tenez absolument à récompenser un Allemand.


Pauleta n'a pas marqué hier. 3 minutes contre l'Angola et puis plus rien. Point final. Klose reste scotché à 5, et je frémis à l'idée que ma prédiction de 2005 se réalise : Toni peut encore terminer meilleur buteur ! Je préfèrerais voir Henry coiffer tout le monde sur le poteau : marquer trois pions à ce Buffon-là en finale, ça ferait pas trop mal sur son CV. En attendant le Ballon d'Or en décembre. Un tuyau : allez taquiner la défense italienne du côté de Grosso les gars... Ce type a les yeux tellement rapprochés que sa perception des distances laisse à désirer : le but de l'ennemi lui parait toujours plus proche que celui qu'il est sensé défendre.


Malgré tout, j'ai beau tourner cette finale dans tous les sens, je ne vois pas comment les Bleus peuvent gagner (les Bleus avé la majuscule, par les Azzuri). Ou plutôt si : l'état de grâce se prolonge encore un match, le dernier. Si l'Italie gagne, c'est normal, c'est du football. Si la France gagne, on zappe carrément dans une autre dimension.

 
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Bons points : Sebastian Kehl (DEU - pas question de récompenser ce bourrin de Bastian Schweinsteiger ; on n'a pas gardé les cochons ensemble) - Cristiano Ronaldo (POR - avec Pauleta et Figo pour l'ensemble de leur carrière internationale)

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* l'occasion de rejoindre le peloton... Comme je le dis souvent, il y a trois types de vainqueurs de la Coupe du Monde : ceux qui ont gagné chez eux, ceux qui ont gagné chez eux et à l'étranger, et celui qui a gagné sur tous les continents mais jamais chez lui.


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Original: On vit ensemble on meurt ensemble (20060709)

Impossible n'est pas Français (2006)

Hier, les Portugais me faisaient penser aux Français d'il y a un quart de siècle : parfois dominateurs* mais toujours dominés dans les grands moments face aux fameuses "grandes équipes". La France de 1996-2006 est une grande équipe : si les Espagnols, les Brésiliens, les Portugais ou les Italiens en font une bête noire, c'est parce que l'histoire récente les a vu subir la vague bleue sans autre compensation que quelques miettes pendant la sieste des lions.

Les grandes équipes ne séduisent pas toujours mais gagnent à la fin. Et si ce dimanche la France bat l'Italie (une équipe qui gagne à la fin s'il en est dans cette Coupe du Monde), elle sera vraiment immense. Déjà, cette deuxième finale mondiale sonne comme une consécration : au palmarès, nous prenons l'avantage sur l'Angleterre (une finale gagnée chez elle, comme la France d'après 1998 et d'avant 2006) et des références du beau jeu mal récompensé comme Cruyff ou Masopust (deux finales perdues pour les Pays-Bas ou la Tchécoslovaquie). Il y a les victoires qui donnent accès au gotha du foot (1984, 1998) et il y a celles qui confirment l'appartenance durable à ce gotha (2000, 2006). Au-delà, la victoire de 1998 réparait une injustice de l'Histoire et celle de 2006 sublimerait l'histoire d'une bande de potes formidables.

Mais la France n'a pas encore gagné sa deuxième Coupe du Monde et pour le coup ça tiendrait de l'authentique miracle : l'Italie lui est aujourd'hui clairement supérieure. Malgré le match énorme de Lilian Monsieur Demis-Finales Thuram. Malgré le Mondial de rêve de Willy Sagnol. Malgré Zizou aussi : le système de jeu des Bleus, totalement bâti pour El Maestro, s'effondre dès que celui-ci baisse en régime ; hier encore, l'ensemble du milieu de terrain français n'aura pas touché une bille pendant les deux tiers de la seconde mi-temps. 

Et ne nous fâchons pas déjà en évoquant l'après 9 juillet...

Je me répête depuis un moment mais je ne vois pas cette équipe enchaîner les victoires jusqu'au bout sans impliquer un peu plus le banc**. Face à des Italiens au sommet de leur forme, face à un trio Buffon-Cannavaro-Pirlo en état de grâce, il semble impossible d'éviter un cinglant 3-0 et a fortiori de gagner en alignant ces 11 titulaires au bout du rouleau pour un quatrième match consécutif.
 
Les amateurs de trois bandes (pas seulement au billard) me rétorqueront "impossible is nothing".
 
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Bons points : Lilian Thuram (FRA - autant Vieira a joué avec le frein à main, autant LT a tout donné - émouvant jusqu'à sa conf' de presse d'après-match) - Cristiano Ronaldo (POR - plus convainquant qu'en quarts, y compris dans ses plongeons - note artistique maximale pour le double salchow dans les 16 mètres).
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* une différence notable tout de même : le Portugal ne domine pas tant que ça dans le jeu - bien qu'en progrès dans la profondeur et les passes au-dessus de la défense, les grenat ont une fois de plus montré leurs limites face aux Bleus. Pas question de comparer notre Carré Magique avec la bande à Deco-Figo (auquel on souhaitera un beau jubilée samedi face à Oliver Kahn), pas question de comparer le 5 Majeur de la défense de 1986 avec la garde rapprochée du pourtant formidable Ricardo.
 
*** bon - il est vrai qu'observer Gaël Givet avaler les mouches sur le banc, ça donne pas vraiment envie... Et puis si la France a encaissé autant de buts qu'en 1998 pour arriver en finale, elle en a marqué deux fois moins et uniquement par quelques titulaires (l'Italie présente un profil beaucoup plus proche de la France de '98 : tout le monde marque).


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Original: Impossible n'est pas Français (20060706)

Une Juve de série C ? (2006)

Fiat lux ! Bien vu la vieille dame : embaucher l'ami Didier pour sortir la Juve de la dêche, il fallait y penser... Au moins l'annonce du réquisitoire du Moggigate tombe-t-elle à pic : soit les Azzuri se révoltent sur le terrain, gagnent ce soir et renforcent leur statut de favorissimes de la compète, soit l'Allemagne les élimine en vertu de la jurisprudence Ballack alinéa Podolski Klose B et les excuses sont alors toutes trouvées.

De Zidaninho à Zidanao ? Pour que Zizou réussisse son invraisemblable pari, Robert Duverne doit prolonger le miracle : à bout de souffle sur leurs deux premiers matchs, les Bleus ont fait la différence dans les secondes mi-temps des trois suivants... mais les deux matchs à venir s'annoncent nettement plus difficiles que les exploits contre l'Espagne et le Brésil, et la clef de Portugal - France pourrait bien s'avérer plus physique que technique ou tactique.

Après Raul et Ronaldo, El Maestro rend visite à un autre vieux de la vieille de Bernabeu ; Figo est supposé succomber dans l'arène, mais ne se laissera pas facilement couper les oreilles et la queue. Abidal devra rester stoïque sous les banderilles de Christiano Ronaldo, Barthez surveiller de près le matador habituel de l'OM (Pauleta) et Makelelelele s'occuper de la Deco avec goût.

On espère néanmoins voir le moins de sang possible : une demi-finale entre le Portugal et la France doit avant tout être une fête entre amis - pas un stupide règlement de comptes comme cet illuminé parisien tirant sur deux supporters lusitaniens célébrant un peu bruyament la victoire des leurs sur l'Angleterre.

Après une Juve de série C, si on pouvait éviter un mauvais match de série B...


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Original: Une Juve de série C ? (20060704)

20171208

Non perseverare diabolicum (2006)

"Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le troisième jour. Dieu dit: Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années" (Genèse 1-13 - 1-14).

On en trouvera pour dire "cela est bon" mais à mon humble avis "pas mauvais" serait plus juste et bon. Les signes que j'ai vu pendant cette 3e journée de Coupe du Monde ne me paraissent pas dignes de "marquer les époques". Faut pas confondre "luminaires" et "lampions", faut pas prendre les Messi pour des lanternes, et il manque tout de même un peu de surprises et de folie dans ce Weltmeisterschaft.


Attention, on ne s'ennuie pas du tout, comme pendant ce Mexique-Iran à la hauteur de mes attentes (si ce n'est pour le score) ou cette première mi-temps de hourra football entre lusophones. Mais le grain de folie agace tant il paraît forcé, à l'image d'un Akwa simplex incapable de tenter autre chose qu'une bicyclette sur le moindre centre ou un Cristiano Ronaldo ridicule à force de chercher le gris-gris près des caméras (il a logiquement fini par trouver le banc de touche d'ailleurs). Figo n'a plus ses jambes de 20 ans mais quand lui se permet un grand pont, il y a un but à la clef. De Pauleta, bien sûr. Mais là aussi, déception : j'avais prévu une goleza de Pedro Miguel (4 pions contre l'Angola) et les premières minutes semblaient me donner raison... mais comme l'Angleterre et les Pays Bas, les Portugais ont baissé pavillon une fois poinçonné le minimum syndical. Pauleta a attendu en vain le ballon pendant les 3/4 du match et il a fallu le départ de Ronaldo pour qu'il retâte du cuir.

Bon. Il parait qu'au 4e jour Dieu a créé les poissons et les oiseaux. J'espère que cette fois-ci les buteurs ne vont pas rester muets comme des carpes.

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Bons points : Arjen Robben (NED - pour ses soixante premières minutes - sa période altruiste), Ognjen Koroman (SEM - du concentré de motivation et pas maladroit avec ça - il ne lui manque décidément qu'une voyelle dans le prénom), Vahid Ashemian (IRN - un poil plus incisif que la momie d'Ali Daei), Nuno Ribeiro Maniche (POR - celui-là, je ne l'ai jamais vu mal jouer), Venceslau André Valentim Macanga (ANG - dit André sans frapper puisqu'il n'aura réalisé qu'un tir dans le match, soit quinze fois moins que ses partenaires), Rafael Marquez (MEX - de tout s'occupe, et avec élégance : oser comparer ce gentleman à cet arrogant pignouf de Beckenbauer n'est pas vraiment lui faire honneur).


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Original: Non perseverare diabolicum (20060612)

20171130

Autel de passes (2005)

Bravo aux Dogues pour leur victoire de SDF dans la cathédrale du SDF : on les préfère quand ils commencent à jouer contre ManU que pendant les arrêts de jeu contre Benfica.

En attendant, après Boring Arsenal, Bourrin United s'entête à gaspiller des talents comme C. Ronaldo ou Park Ji-sung et à exposer les limites d'un Rooney que seul un Eriksson au bord de l'élimination aura osé comparer à Pelé. On se souvient avec quel art consommé du caressage de tabloïd dans le sens du poil de c... Sven Goran avait sauvé son image dans les feuilles de chou en encensant son peu svelte goret aux oreilles en chou fleur.


J'ai pas mal aimé les 3 derniers pions de Trézéguet alliant l'efficacité de Gert à l'élégance de Marco. Deux d'entre eux parachèvent de somptueux caviars de Vieira mais je préfère encore celui du milieu - le premier contre le Bayern - pour l'autorité du geste.


J'ai bien aimé le bis repetita placent de Titi Henry (remake de son but contre l'Eire) et le lob piqué en simple opposition de Eto'o.


Plus fondamentalement, j'ai beaucoup aimé la trentaine de buts sur les huit matchs de la soirée. ça change un peu de la quinzaine sur dix matchs de Ligue 1. On dirait presque la Serie A pré-platinienne.


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Original: Autel de passes (20051103)